La 1er douleur
Quand j’étais petite il y a une chose que j’aimais beaucoup, perdre une dent, pas pour la surprise sous l’oreiller mais juste pour le plaisir de l’arracher ! Une douleur douce, je me rappelle même avoir forcé certaine dents à tomber, sa me prenais 1 ou 2 jour. Pousser, tourner, triturer, je sentais que la gencive s’arracher je l’entendais même et le plaisir que c’était de sentir que la dent allé céder avant que je céde à la douleur. Douleur que j’appréciais, la sensation de sentir battre ma gencive comme mon cœur, sa pulsait ! c’était étrange …. Le moment où mes dents définitives ont poussé était nettement moins drôle j’avais l’impression horrible d’entendre les grincements des dents qui luttaient contre la gencive, et la douleur n’était pas la même c’était plus tiraillant et je n’avais aucun contrôle dessus ! C’est peut être là la limite entre une douleur que l’on supporte, parce que l’on peut la gérer et celle que l’on ne peut suppoter parce qu’elle ne dépends pas totalement de nous.