à Š.K
Si tu savais comme ton message me fait du bien
Ici c’est la détresse.
Rester chez mes parents, les haïr, ou rester seul, et dépérir. J’étais dans une telle montée d’euphorie depuis la rentrée, la nouvelle me met face au mur.
En attendant de trouver une solution (qui n’existe pas), merci de te signaler, j’ai hâte d’échanger mes détresses avec toi pendant ce mois d’enfer qui nous attend.
J’espère que cette boutique ne dépérira pas (comme nous)
J’espère que Rennes te retrouvera
Je ne suis pas mort, je n’ai pas le temps, j’en aurais bientôt, je vais te tuer, tu me tueras aussi
Bisous