Errances

4 décembre 2020

ZEUS ET 701

Filed under: musardises — Étiquettes : — errant @ 00:15

Un vent terrible souffler en cette fin aout dans le sud de la France.

L’air était charger electriquement depuis plusieurs jour déjà. La terre sèche du sud était sous tension en attendant les pluies diluviennes de fin de saison. Une atmosphère d’électrons libre attendant la première détonation d’orage pour donner des frissons. Tous suspendus en regardant le ciel et la colère des cieux. Tous guettaient la foudre et le grondement des nuages noir.

Les fusibles de sécurité de mon cerveaux humain n’ont pas tarder pour fondre. La tension était trop forte. Je voulais rencontrer l’orage. La puissance électrique et divine des cieux agités. Je voulais rejoindre le ciel et narguer dieux en le provocant avec mon moteur. Je voulais titiller les molécules en supinations céleste et les faire descendre.

Enfourchant alors avec précipitation La Camarillo white, La bête blanche. Celle qui gronde !  La plus bestial, la plus grosse cylindrée du marché européen en matière d’enduro. LA 701.

Mode 2 pour la puissance, les yeux rivé vers le ciel, à la recherche de l’éclaire foudroyant. Direction le Coudon. Plus haute montagne près de Toulon, il y a la bas une route qui monte au ciel. Une route qui grimpe du niveau de la mer jusqu’au sommet culminant à 700 métres d’altitude. Souvent caresser par les nuage, ce mont aller sans doute être le plus haut théâtre d’activité météorologiques céleste de la région. Si le dieux de la foudre devait descendre se serais alors la bas. Pas de temps a perdre, Gaz en grand.

La roue avant de la Husq s’élève vivement du sol a chaque accélération trop franche, Elle est bestialement vivante et cabre intempestivement. Le ciel s’assombri depuis plusieurs minutes déjà et plus aucun vent ne viens alors souffler les arbre et les feuilles. Plus je monter au travers des lacets zigzagant de la route, plus le calme se faisait en silence. Seul le bruit rauque de l’échappement faisait trembler l’air. Les précipices de bords de routes me forcer a regarder le ciel. La route se perder dans l’horizon nuageux. Apres chaque virage apparaissait une montée et rien ne me faisait descendre. Arriver a la dernière épingle un panneau indiquer Defense d’entrée, Zone militaire. Au sommet du mont, sous les noirs et menaçants nuages se dresser une base militaire. De haute murailles et des antennes grimper au point culminant. Zeus était la ! C’est certain ! Franchir la barrière permet d’accéder au dernier mètres. Au sommet.

La haut, dans la plus terrible des attente insoutenable, celle du silence profond. Le premier grondement commenca a monter. Puissance et long. Mais encore lointain.

Et Soudain, Dans un éclaire foudroyant, le ciel éclatant de luminosité, déchira la pellicule que je tenter de prendre. Et dans dans l’obscurité lumineuse, mes yeux virent dans une vaporeuse image, Zeus. Le dieux de la foudre. Chevauchant une énorme 1200 GS, toute noir.

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