Errances

22 février 2021

Shortbus

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17 février 2021

J’ai passé un bon week-end

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14 février 2021

bains

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9 février 2021

Je perds toute consistance devant cet homme aux oreilles percées mille fois.

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Je perds toute consistance devant cet homme aux oreilles percées mille fois.

Des bijoux sonores et brillants, le reste à m’en faire crever : j’ai détesté ses façons, me suis plié à son style, nous avons même partagé une nuit. Voilà le grand malheur, s’il en a de si beaux, il sait briser les masques. Il sait se passionner pour des vieux chants sans en retenir les mauvaises manies, quant aux chants de nos jours, il en est le récit. Il a tout, il est tout, il ne le sait pas, il est de ces grandes images.

Ah ! Et il m’embrasse bien sincèrement. Moi je me vide à l’observer s’entourer de tous les bons avis, de voir les gens s’engorger dans ses grandes scènes. Dîtes moi pourquoi les jolis garçons me rendent vide.

6 février 2021

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Anarchie relationnelle

ne pas mettre de mots sur des relations

aucune boîte

aucune case

pas de relation privilégiée

4 février 2021

Théâtre intérieur

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2 février 2021

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22 janvier 2021

Le visage aux yeux ouverts

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Celui-ci est un appel au réveil. Que vos yeux grands ouverts vous décharnent le corps, il est grand temps de voir : c’est l’Autre qu’il faut questionner, c’est dans son expérience que tu peux t’émanciper. C’est dans le geste attentif que tu aperçois ces noeuds dans sa peau, de petits récits qu’il te faut parcourir.

Ne plus se regarder, mais bien se voir.

19 janvier 2021

nuit désastre

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nuit d’amour

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18 janvier 2021

Dimanche

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11 janvier 2021

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J’ai trouvé un certain réconfort à aller visiter des inconnus quand la nuit tombe.

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J’ai trouvé un certain réconfort à aller visiter des inconnus quand la nuit tombe.

Tout était prévu, je ne laisserai pas la solitude passer la porte, il me suffisait de moi-même la franchir pour aller sonner chez l’Autre. Je suis toujours surpris de l’effet que je leur fait et de leurs façons. J’aime à me dire que là est mon but, de rencontrer tous ces garçons, de les questionner sur leurs mondes, bien moins sur la raison de ma présence dans leurs draps.

Cela me prend comme une autre naissance, une parenthèse hormonale, dans laquelle j’ai un masque royal, qui franchit tous les murs de la ville. La gêne ne peut plus me toucher lorsque je les regarde dans les yeux sans même parfois connaître leurs noms. Elle m’apparaît minuscule quand il s’agit d’osciller entre l’appétit sexuel et le manque profond d’amour des hommes qui me font face.

28 décembre 2020

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27 décembre 2020

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Je ne sais pas quoi penser de ce film

De jolies images

J’ai envie d’être amoureux

Gneugneugneu

13 décembre 2020

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8 décembre 2020

Le masque

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Le 24 Avril 2020, j’écrivais :

« Il y a les Hommes et il y a les Arts.

Les Hommes, on peut les trouver sur les côtes à peindre la mer, dans une urgence des ressentis. S’ils leur manque la parole, les cris leur sont toujours possibles par la touche, le geste ou la couleur.

L’attrait pour les Arts serait-il seulement un appel à autre langage ? Un système de symboles et de définitions poreuses, vacillant entre universalité des formes et interprétations ? Auraient-on élaboré un champ infini de moyens pour modeler l’individu, de sa chair à ce qui l’habite, de ses premiers pas à la terre qu’ils ont foulé ?

Moi je pense que c’est une cabane. Un autre lieu (heteros topos) dans lequel il y aurait tous les outils nécessaire à élaborer mon utopie (ou topos). En entrant dans cette cabane, je perds mes peaux et mes muscles, mes cheveux et mes ongles. Il ne me reste plus qu’à plonger mes doigts dans mes tripes pour en tirer des épisodes : des moments vécus, des pensées bleues ou des actes manqués. Ainsi je les manipule et les façonne, puis je les organise et les range.

C’est en quittant ma cabane, en enfilant mes habits lourds et opaques, que je porte un premier regard sur ma création, je vais tenter de me rappeler de sa forme et de ses couleurs, pour en emporter son essence.

Puis je m’éloigne de l’édifice pour reprendre ma chair et remplir mes poumons. »

 

Aujourd’hui je sais ce que je façonnais dans cette cabane, le masque.

Les masques

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4 décembre 2020

Je m’accomplis dans vos histoires

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27 novembre 2020

Marie

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Aujourd’hui Marie est venue nous rencontrer sur la jetée, inquiète des soudaines envies de s’immerger, par les temps qui courent. C’est de la sienne dont elle nous parlait, depuis la perte de son mari Gabriel.

  • « Nous formions un seul coeur ! »

Je lui ai répondu que c’était beau, elle nous parlé de ses dernières années en Italie, de sa peur de la mafia, du Vatican, je lui ai dit que j’étais sûr qu’il lui en restait de jolis souvenirs.

  • « Vous êtes gentil de penser à moi ! »

Elle nous a parlé de ces textes anciens qui ne mentent pas, elle nous a dit que l’on vivait la fin, celle du monde, et qu’il allait renaître. Nous sommes le nouveau monde, elle nous passait la main, sûrement.

Marie tu nous as fait pleuré à nous laisser là sur la jetée, tu nous as dit que tu te demandais pourquoi tu étais resté seule sur la Terre sans Gabriel, et bien voici. Puisqu’il nous faut prendre du temps, comme tu dis, je prendrais le temps.

J’ai cru à une envoyée des cieux, pour me rappeler mon âge. Tu nous as demandé nos prénoms, Marie j’espère aussi connaître un jour les paysages d’Italie.

20 novembre 2020

Amour pluriel, ou ode à la polygamie

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Je commence lentement à me faire à l’idée que l’intimité est une chose à laquelle je n’aurai accès que par l’étude et la représentation.

Les relations à deux pôles me font peur, les silences obligatoires que j’admire tant chez les Autres sont des lames au creux de mes paumes, le rire devient une performance.

De toute évidence je ne saurai qu’aimer de loin, je ne sais dire qu’à l’un que j’aime l’autre, et cela ne me va pas.

Alors il y aura l’un et l’autre à la fois, et j’aimerai les deux, les trois, les quatre, et on se passera le mot.

18 novembre 2020

Portraits de famille

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The Legend of Leigh Bowery, Charles Atlas for Arte, 2002 (disponible sur youtube)

17 novembre 2020

Glaner des mains intimes

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16 novembre 2020

Du passé #2

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Les vieux visages ne me font plus peur

J’ai toujours été coquet

Du passé #1

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La chambre d’enfant, ça permet de retrouver des choses passées

Quelques constats :

15 ans plus tard, je dessine toujours comme un enfant

Ma vieille montre me manque

Les seuls hommes qui m’ont marqué sont des drogués qui ne m’ont jamais vraiment voulu de bien

On m’a toujours écrit de jolis mots

La coupe au bol c’est pas mon truc, ça me donne un air hyper énervant

13 novembre 2020

La clé d’Atal

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La clé d’Atal (croisement avec le personnage de Zélia)

Ne pensez par échapper à Blu, à son trousseau guérisseur. Nombreux sont ceux qui ont fuit, bien trop appréhensifs d’ouvrir leurs entrailles. Mais il viendra vous vitrer, même du haut de votre vaisseau spatial.

Il aime le noir autant que vous aimez le blanc.

Atal avait fuit lui aussi, l’humanité et ses croyances ésotériques, horrifié de leurs élans d’intimité.

Blu l’avait bousculé, un soir d’hiver sur Neptune, mais Atal s’accrochait à sa clé, personne ne devait entrevoir ses démons d’enfance, ceux qui l’avaient formé et déformé.

Mais Blu fait toujours raison, sa misanthropie n’était qu’un joli masque façonné par le deuil d’un amour jamais vraiment connu.

Blu s’en allait, dans le silence de l’univers résonnait alors le bruit métallique d’une nouvelle ami parmi son trousseau.

Il y a des soirs où l’on se couche avec Blu

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Il y a des soirs où l’on se couche avec Blu

C’est un peu comme la légende urbaine, personne n’en parle mais les portes se ferment quand on l’entend gratter les murs. Et tout le monde y passera.

C’st la masseuse, la gardienne des trousseaux, forçant l’entrée des foyers pour y voler vos clés. Laissons nous faire.

C’est la seule qui nous la demandera poliment, cette clé.

Elle ira soigneusement fouiller au fond des mauvaises heures, parcourir les déceptions, errer dans les spleen pour y confectionner le meilleur de nous-même. Un talisman, dorure sublime, qu’elle ajoutera à son trousseau, et dont elle vous donnera le double.

31 octobre 2020

Yolande par Varda

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Sans toit ni loi, Agnès Varda, 1985.

12 octobre 2020

Štéfan

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