Errances

14 septembre 2023

los miedos del jueves 14 de septiembre

Filed under: ramblings,- Louna — Louna @ 12:05

Je sort du métro, trvervese pour prendre le bus 161.
Dans le bus je la reconnait, elle fait partie du groupe d’amis espagnole que j’ai rencontré et avec qui j’ai sympathisé. Le regard cerné et déterminé pas son maquillage noire ça se voit qu’elle sait ou elle va ce qu’elle pense comme si dans sa tête les pensées étaient des aiguilles qui viennent tatouer le future avec une précision admirable. Peut être que je me trompe, je ne sait pas bien mais c’est cette image qu’elle me fait parvenir. Dans ma tête mes pensées sont comme des poisson qui nage à contre courant ou qui ne savent pas bien où ils vont et que penser, même si la volonté de continuer de nager peut importe l’intensité de l’eau reste très présente. Que faire ? Lui dire bonjour ? Je ne sais pas, première peur de la journée, je ne veux pas être la pièce rapportée ou comme quelle que chose qui est là, ça nous gène mais que dire… C’est horrible de penser cela ? Surtout quand objectivement tout ce passe très bien. Alors les poissons s’entre choque. Je lui dis « Holà » /Elle avait son casque peut être aurai-je du m’abstenir ?/ Elle me répond « Holà » puis je suis le flux de personnes et m’enfonce dans le bus. Sur le chemin de la faculté nos regard se croisent pas un mot je ne sais pas comment l’interpréter. Peut être ai-je cette peur de l’inconnu ou cette peur de que penses l’autre de moi ? Mais finalement est ce que ce n’est pas un peut égotiste de raisonner comme cela ? Sans le regard de l’autre pouvons nous réellement exister ? Q’allez vous penser en lisant ceci ? Trop de questions s’entrechoque qu’elles finissent par se saturer à tel point que je ne peut les percevoir.

Diario de los miedos

Filed under: - Louna — Louna @ 11:47

Dans le cours de performance, je dois tenir un journal de mes peurs

Tout les jours, noter toutes ces petites ou grandes peur qui se présentent à moi, pour plus de régularité je vais essayer de publier certaine de ces petite peurs ici tout les jours, en francès ou en espagnol (les deux) je vais voir

Diario de las miedos

11 septembre
J’ai eu peur que la porte du métro se referme sur moi
Tengo miedo que la puerta del metro se cerrar sobre mi
Je voulais lui dire mes doutes, ce que je ressent et savoir la nature de notre relation
j’avais un peu peur de lui dire mais je suis contente de lui avoir dit

12 septembre
J’ai fait un rêve, il a fait très chaud puis il a neigé, angoisse > réchauffement climatique ?
J’ai fait une sorte de crise d’angoisse j’avais mal à la tête j’avais peur et je ne savait pas où mètre mon corps j
e voulais sortir dehors (quand on était au musée) mais j’avais peur du regard de l’autre, j’ai préférai attendre.
J’avais peur que l’angoisse s’amplifie

13 septembre
J’ai peur de gêner les gens être en trop
J’ai peur d’arriver en retard
J’ai peur de déranger

La Bretagne m’accompagne à Madrid

Filed under: ramblings,- Louna — Louna @ 11:41

4 septembre 2023


Hier soir, depuis ma fenêtre dont je n’arrive pas à percevoir le ciel, je l’ai entendu gronder et la lumière des éclairs est rentrée jusque dans ma chambre. J’entendais l’eau couler mais ce n’étais pas celle de la salle de bain collée à ma chambre. Aujourd’hui après des heures d’administratif je décide de prendre l’aire direction le parc du retiro. Celui ci est fermé pour cause des averses qui ont eu lieu hier soir. On me dit que depuis la France on en a entendu parler. À 17h46 il ne pleut pas. Je me suis accouder à un mur de retiro.

18 mars 2023

49.3 Toujours en démocratie ?

Filed under: - Louna — Louna @ 01:53

Vendredi 17 mars: Rassemblement 11h place de Bretagne, le lendemain de l’annonce du 49.3 (le 11ème sous Macron)

 

Le peuple en à marre,

Les vitrines des abris bus se font rare.

les canons à eau se font plus nombreux,

Hier Rennes était en feu.

(désolé Thierry je ne suis pas venue à l’école ce matin finalement) 

16 mars 2023

Hier encore…

Filed under: - Louna — Louna @ 10:27

16 mars
Mardi on était le 14.
Comme le 14 février ou le 14 juillet mais en mars,
Le 14 mars donc.
C’était mon anniversaire.
Je n’ai plus 20 ans.
Je peux chanter du Aznavour et déclarer: « hier encore j’avais 20 ans »
20 ans, un chiffre rond, un chiffe finalement juste un chiffre,
Qu’est ce que cela change au fond, un an de plus ou de moins ?
Nous sommes toujours la même personnes au final.

20 ans
Ça aura été une année d’étude, de voyage, d’errance, de coquillette, de rencontre, d’amour, de désillusion, de doute, de courage, d’espoir, d’indignation, d’engagement associatif, de création, de soirées dans des bar ou sur les canaps de la coloc, ça aura été Rennes, Valence (Espagne), Crans Montana (Suisse), Riga (Lettonie), Paris et sa gare routière de Bercy, Des classes vertes, le centre de loisir des colos, la main de Zidan sur mon épaule atour des futurs petits footballeurs, les enfants qui découvrent la neige, le train pour rejoindre ces enfants vers Paris quand les résultats du second tour tombe en même temps que tout espoir en les 5 prochaine années. Les chant dans les manif, «et on est jeunes, déterre et révolutionnaire», « violence sexiste, violence sociale, même combat contre le capital », une testa en feu, les beaux arts occupé, du théâtre, ma première fois à jouer sur scène, faire l’ange dans la neige à Riga, Redécouvrir Anne Sylvestre et ses chansons incroyable, le sac de patate de 10 kilo du netto, les 10 ans de par tout artiste, les vernissages, les photos en festival et concert, le woofing, le stop, les attentes, les déceptions, les petites victoires, les salaires de merdes, les APL, les repas au RU de hoche, la pénurie de katchup au crous, un climat social ou il est bon d’avoir un parapluie pour sortir dans la rue, l’attende de la réponse pour partir en Colombie, ça aura été une année qui serra suivie d’une nouvelle qui promet d’être tout aussi palpitante.

Errance: Pour quoi ? pour qui ?

Filed under: - Louna — Louna @ 09:47

À ces rencontres,

À ces personnes avec qui j’ai partagé un bout de chemin, une discussion, un verre, un kebab, une idée, une révolte, une souffrance, un sentiment.

À ces objets qui ont croisé mon regard attiré mon attention et qui m’on fait réfléchir. À ce parapluie coloré trouvé dans une poubelle, à ce détail ici, juste derrière toi. À ces paysages, ces tableaux figé dans le réels.

À L’art, l’art de regarder, l’art de s’écouter, l’art de penser, l’art de s’exprimer, l’art de partager, l’art de se rencontrer, l’art de rire, l’art d’être ivre, ivre de vivre.

5 mars 2023

La fin heureuse du Titanic

Filed under: - Louna — Louna @ 02:17

2 mars
« Pense au homard dans son aquarium dans le restaurant du Titanic qui pensais se faire manger dans les prochaines heure et qui fini par rejoindre l’océan »

Voyage vers Riga

Filed under: - Louna — Louna @ 02:07

17 février

7h
J’arrive au Blosne à Rennes dans la nuit.
Un garçons ce situ sur un banc en parallèle de moi. Attend t’il lui aussi le covoiturage ? Il n’a pas de sac. Les écouteurs sur ses oreilles, je laisse le doute en suspend et commence à trier les photos dans mon téléphone. Le covoiturage arrive avec un peu de retard. Je m’avance pour trouver la conductrice, le garçon du banc se m’interpelle: « toi aussi tu te recherches le covoit ?
Nous attendons, nous observons,pas de voiture bleue. Et le ciel est toujours noir. Notre chauffeuse était à la station triangle. Elle nous retrouve. Les roues tourne, le moteur chauffe, le paysage défile et nos yeux se ferment.

11h
Il me parle de son rappeur préféré:
Furax barabarusa (Porcelaine)

12h30
Premier arrêt: Paris Nanterre
Il décent, une dame monte avec sa fille.
Elles ont toute les deux un bonnet rose, la mère s’appelle Fatima, elle est italienne avec des origines marocaines, elle est venue quelques jours sur Paris voir de la famille.
Nous repartons en route pour Beauvais.

Arrive à l’aréoport, les langues se croise et les roulettes des bagages s’entremêlent. Elle tient la pousssette je l’aide à porte sa valise. Elle me propose un café nous mangeons ensemble comme si nous nous connaissions, comme si les quelques heures de route passés ensemble avait créé un lien entre nous qui ne peu que nous inviter à prendre soin l’une de l’autre, comme si nous nous connaissions depuis plusieurs années.

Nos chemins se sépare.

16h30
Appel… mémé
Je te suis dans ton projet
Tu arrive à prendre un objet, un matériaux et à en créer totalement autre chose, tu es une créatrice. Ces parapluie c’est vraiment une bonne idée,
Il y a une histoire derrière tout ça. il faut trouver ton propre truc une sorte de camionnette ou tu te déplace pour créer. une sorte de ressourcerie mais avec ton propre nom. Il faut inventer un nouveau concept. Il faut s’accrocher pour continuer dans la création. Il faut aller jusqu’au bout même si la création est infini et qu’il n’y a pas vraiment de bout. Oui je vois ce que veulent te dire les prof pour la peinture, peut être que tu n’arrive pas à trouver cette liberté de création comme tu l’a à d’autre endroit, regarde Picasso, regarde le livre de Frida Kahlo.

16h45

Jappercois son bonnet rose. Elle ne me voit pas, je suis toujours au téléphone. Puis elle se rapproche pour venir me dire au revoir, elle demande à sa petite fille de me faire bye bye de la main, elle me souris. Puis elles sont parti.
Et je reste là sur la chaise à attendre l’heure.

Nous nous sommes revu et nous avions continué à échanger dans un anglais approximatif.

Place 29A

20h31
Toujours à Paris Beauvais
Bruit assourdissant, l’avion arrive enfin.
20h38
Les gens décendent

21h10
Installé dans l’avion nous l’allons bientôt décoller.

21h18
L’avion recule,
Les lumières bleue s’allument
les consignes de sécurités son énoncées 
L’avion avance
Les lumières bleue s’éteignent 

00h45
L’avion atterri

01h25
Les retrouvaille

Un repas puis nous sommes reparti pour la grosse soirée dans les beaux arts de Riga

06h30
Nous rentrons

07h03
Tout le monde au lit

18 février

Visite de la ville
Musée de la porcelaine
Les canars dans l’eau glacée et sculpture frigorifiée
Il fait froid
Saline peint sur un vase
Le thé et les bonne pâtisserie

19 février
Claque claque dans la nuit, les lattes du lit se sont enfuit. Le postérieur bien rempli est maintenant avachi.
Le réveille sonne à 8h45, une douce mélodie, bruit de nature, retenti. Naturellement nos yeux se referment. Clémence recule le réveille plusieurs fois sans que Louna ne s’en aperçois.
Une fois emmitouflées, elles se dirigent vers la gare. Louna a 14 couches de vêtement sur elle et clémence en a 9. Elles s’imagine être des arbres, plus de vêtements il y a plus la personne est âgée comme on peut deviner l’âge d’un arbre à son nombre de rénure sur sa souche.
Elle se dirige gaiment sur le chemin de la gare sans savoir qu’elle s’apprêtait à choisir une destination fantôme. Arrivée, trois destination d’offre à elle, il est déjà 12h elles décide ensemble de prendre le train dont le départ est le plus proche, 10min plus tard nos deux protagoniste démarre en destination de skulta. Et là…. c’est le drame… Cette station qu’elle pensait balnéaire, n’est rien d’autre qu’un lieu entouré d’une maison en bois, d’une usine et de de n’évalua d’arbre. Elle tenteront avec espoir de rejoindre la mer à pied puis en stop mais rien y fait. Le vent est de plus en plus froid. Elle s’abrite donc dans la cabane au papier peint vert. Depuis la fenêtre adossée au radiateur elles observent la neige tomber, d’abord un flocon puis 2 puis 200 puis 2000 mille et tout deviens blanc. Blanc comme le bonnet en laide de Louna sur le rebord de la fenêtre.

25 février

Beaucoup de jours ce sont écoulés et je n’ai pas écrit dans ce journal…

La journée a commencé là où celle d’hier cést terminée, au « balala », un club dans Rīga. Après une petite soirée chez des amis italien

26 février
« Je range mes souvenir dans une enveloppe »

13 février 2023

Histoire de l’art

Filed under: - Louna — Louna @ 15:15

« Nous sommes tous des poissons ou de la poussière d’étoile »

12 février 2023

Policier enflammé ou l’arroseur arrosé

Filed under: - Louna — Louna @ 15:24

Hier,
Un policier à pris feu,
Puis le canon à eau l’a arrosé.

Rennes, samedi 11 janvier, 4ème rassemblement

Filed under: - Louna — Louna @ 15:14

10 février 2023


Qui décide des règles du jeu ?

Filed under: - Louna — Louna @ 02:03

J’ai la nausée,

Encore une fois,

Un mois c’est écoulé,

Et encore une fois,

Mon ventre est occupé par une douleur intense,

Mon corps et chaud et ma tête bouillante.


Si ce n’était que cela,

Mais mon cerveau surchauffe lui aussi,

Les émotions se mélange et s’amplifie.


Remise en question total,

Tout les choix sont remis en cause.

Je sait maintenant que ça arrive tout les mois,

Que ça dure quelques jours,

Que mes penser sombres disparaîtront

En même temps que les maux de ventre et de tête.

Mais qui décide des règles ?


Qui décide des règles du jeu ?

La piscine en hiver

Filed under: - Louna — Louna @ 01:50

La porte s’ouvre,
La nuit est froide.
Je plonge mon corps dans l’eau,
Nous somme en hiver.


8 février 2023

Manif (3) toujours contre la réforme des retraitres

Filed under: - Louna — Louna @ 03:17

En levant les yeux, il devient difficile de faire la différence entre les oiseaux et les lacrymaux qui volent dans le ciel.

 

– Qu’elle heure est-il ?

– 13h12

 

Stratégie…

Filed under: - Louna — Louna @ 02:49

Dimanche 5 février 

5 février 2023

Immersion dans la prison de Jacques Cartier

Filed under: - Louna — Louna @ 19:29

Jeudi 2 janvier,

Un matin à la prison de jaques Cartier

Les ronces m’encerclent comme l’on fait les barbelés autre fois et le chant des oiseaux rempli de vie bâtiment délaissé. Le barbelés se dressent face à moi comme un squelette, ils reste encore sur lui des morceaux de souvenirs, comme la peau d’un animal mort qui serrait resté partiellement sur son cadavre. Seul les oiseau chantent autour de lui, des chants qui s’entremêlent tel un rituel. Dans le cadavre on peut y voir tout ce que le temps a digéré, voir tout ce que le la terre n’a pas encore recyclé, une conserve, brosse à dent, certains tissu. Une balle au sol, elle, témoigne d’une violence passée.

 

Par moment je reviens, mon esprit refait surface dans les lieux où mon corps a habité.

Actuellement je me retrouve dans cette cellule, ce lieu clos, il n’y a plus de vie, que des fantômes comme moi qui ère. Nous avons été remplacés par des pigeons. Tout à bien changé. Le lit dans le quel je dormais à disparu. Le papier-peint du plafond tombe sur le sol où des bouts de murs sont eux aussi  tombés de puis bien longtemps. Si cet endroit éveil en moi des souvenirs douloureux, le mur garde aussi en lui des cicatrices. 

« Dans les films, c’est toujours les gentil qui gagnent à la fin »

Filed under: - Louna — Louna @ 11:22

Ça pique les yeux

Filed under: - Louna — Louna @ 11:14

31 janvier

Il y a comme une odeur de chants révolutionnaires et un son de l’acrymo dans l’air.

30 janvier réflexion nocturne sur les retraites

Filed under: - Louna — Louna @ 11:12

64
64
Minimum
Mais pas pleine
43
43
Travail
Minimum
43
40
9
3
49/3
67
67 ans actuellement
Entière
Entière mais pas
Grande

Pas d’escarpins pas de travail…

Filed under: - Louna — Louna @ 11:10

29 janvier: 9h34

L’heure de tous

Filed under: - Louna — Louna @ 11:03

Comme un dimanche

Filed under: - Louna — Louna @ 10:51

22 janvier: 13h04

 

Je reste statique, 

L’horloge s’est arrêtée 

Mais la machine continue de tourner.

 

SOS

Filed under: - Louna — Louna @ 10:46

21 janvier
Quand l’année lance un cri de SOS au mois de janvier…

21 janvier 2023

Errance dans le bon coin et cheuveux de BG…

Filed under: - Louna — Louna @ 19:13

Amies soeurs

Filed under: - Louna — Louna @ 02:00

19 janvier 2023

Tout simplement

Filed under: - Louna — Louna @ 23:37

Ma chère soeur,
Tout simplement,
Tout simplement,
Je,
Je t’écris pour te dire que je t’aime.
Tout simplement.
Une déclaration d’amour ?
Il se passe quelque chose.
Tout les événements;
La chanson, le cinéma, la sexualité, les fugues.
Chaque jour, quelque jour arrive.
Aujourd’hui, des jeunes ensemble,
Une foule indignée couleur feu.
Tout simplement
Ce sont les moins de dix-huit ans qui crient:
« Ras le bol! »
Une foule indignée qui dénoncent,
Tout simplement.
Un cri de guerre Imaginé pour une égalité des sexes.
Ras le bol !
L’émouvante et prodigieuse histoire
De nombreuses personnes délivrée du complexe.
Coeurs immortelles,
La nuit protège les enfants qui s’aiment
Au clair de lune.
Au clair de lune,
Levé,
Debout,
Ma chère soeur,
… Oui, il faut que ça change !
Tout simplement.
Changer les conditions sociales.
La lutte ne reculent devant rien,
Ensemble,
Camarade.
C’est mieux d’arrêter,
Surtout de n’aller pas plus loin.
Brutalement nous retourner,
N’être plus que
L’eau trouble
Des souvenirs.
Pas plus loin, surtout, pas plus loin.
C’est la que …
Souvenir anachronique,
je le reconnais,
Secoué par des tremblements.
C’est mieux d’arrêter,
Ne parle pas,
Encaisse en silence.
Dire sans bruit,
Ne… pas dire,
Écoute-moi bien,
Il faut l’ouvrir et
Dire ça ! 
Puisque c’est votre choix et votre droit !
Tout simplement
Ensemble !
Patience,
Violence, Patience
Aujourd’hui; murmure, corps,
Autant de souvenir anachronique.
Patience,
Demande au temps sa précieuse collaboration,
La compagnie, la délicatesse de l’entourage.
Vous êtes courageuses et dévouées, merci.
Merci.
Maintenant, partager ses joies et ses erreurs.
Famille de sang et famille de coeur.
Retrouver le temp de t’écouter raconter nos convictions.
Inventer de nouvelles manière d’espirer,
Nous écoutons chanter le vent,
Et je me souviens.
Je t’aime.
Tout simplement

Comment ?

Filed under: - Louna — Louna @ 02:31

Le ciel est bleu, le ciel est beau

Filed under: - Louna — Louna @ 02:29

poncho imperméable

Filed under: - Louna — Louna @ 02:27

15 janvier 2023

« Vous avez encore un peu de cerveau »

Filed under: - Louna — Louna @ 21:04

« Older Posts

Powered by WordPress