Errances

27 septembre 2009

pas de scanner, un texte

Filed under: tortilles — errant @ 21:38

« Je comprendrai que là où l’extrême Orient, par réductions successives, cherche à atteindre l’essence insipide où l’intime de soi rejoint l’intime de l’univers, l’extrême Occident, par surapondance physique, exalte la matière, glorifie le visible et, ce faisant, glorifie son propre rêve le plus secret et le plus fou. »

extrait du « Dit de Tian-Yi » par François Cheng
page 96, passage sur sa vision de l’art

Quel beau livre, j’ai pas encore fini mais il me prend mes nuits. Merci Nono

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