la main
la main froide, subitement réchauffer par le bus au chauffage poussé à fond, frottant contre un papier. La main qui bouge dans tout les sens, qui craque ces os, qui tord ces doigts. celles qui sont immobiles jointent, ou sur les genoux. Mais surtout, surtout celles qui tiennent cette objets qui semble les aspirer un peu plus chaque jour, cet objet simple, plat, mais qui apparemment à tellement plus que le monde extérieur. Je regarde tout le monde je les dévisage bien, ils ne me voient pas je suis la seule à être dans le mode réelle. On ne se parle plus, on ne se voient même plus!