Un truc qui vient l’après midi
J’ai toujours voulu mettre un mot sur ce que je n’arrivais pas à raconter. Concentrer par la volonté d’écrire sans avoir d’histoire. J’ai perdu l’essence même de ce qu’était créer. Ce faire surprendre par une idée qui ne viens pas chaque matin mais au détour d’un égarement, surgis ce qu’on désigne comme idée.
Je vie dans la peur de la médiocrité, je reste là planté pendant des heures à attendre que mon heure sonne. A chaque heure le coucou m’annonce la fin qui se rapproche.
J’ai décidé d’écrire ou les regardes se croisent, où l’on apprécie le soleil et où l’on s’allonge.