Errances

10 novembre 2021

J’ai retrouvé des tentatives de (très) courts poèmes lors de notre errance à Fréhel

Filed under: musardises — Étiquettes : — errant @ 18:15

Le long de leurs corps sinueux,
les nombrils de venus offrent leurs coeurs.

*

Près de l’écume,
mais loin de la maligne vague,
Les marcheurs sillonnent le sol sableux.

*

L’épiderme glacé par le froid,
je boue de l’intérieur par l’effort.

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