J’ai retrouvé des tentatives de (très) courts poèmes lors de notre errance à Fréhel
Le long de leurs corps sinueux,
les nombrils de venus offrent leurs coeurs.
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Près de l’écume,
mais loin de la maligne vague,
Les marcheurs sillonnent le sol sableux.
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L’épiderme glacé par le froid,
je boue de l’intérieur par l’effort.