Encore faut-il y croire
De la nécessité de lier son aventure personnelle à celle du monde.
Car si l’acte créateur est hautement égoïste en soi (dans le sens ou le plaisir qui en résulte est premier), son achèvement lui, offre des formes qui peuvent (doivent) être partagées.
La charge insufflée par la main en l’objet est ainsi disponible à quiconque s’en souciera, et elle vivra en d’autres porteurs et sous diférentes facettes.
Tout ceci n’est qu’une gigantesque circulation défiant l’espace et le temps.