31 janvier 2017
30 janvier 2017
28 janvier 2017
boucle
porte de pantin ligne 5 arrêt république : 24 mins
république – rue du temple : 5 mins
rue du temple- hank burger : 13mins
hank burger – rue saint sabin : 14 mins
rue saint sabin -le poulailler: 2 min
le poulailler- hank pizza : 15 mins
hank pizza – art et métier 11 : 6 mins
Art et métier ligne 11 arrêt porte des lilas : 11 mins
porte des lilas sortie 4 + attente tram 3b: 7 mins
tram 3b direction porte de la chapelle arrêt porte de pantin
25 janvier 2017
24 janvier 2017
23 janvier 2017
Hésitations
Aujourd’hui il s’est réveillé avec mon réveil, 7h45 au lieu de 6h30. J’aurais dû me lever mais il a bondit du lit avec un tel stress que ça m’a fatiguée d’avance. J’ai attendu qu’il sorte de la chambre pour poser l’orteille hors du lit. Il courait dans tous les sens attrapant sac, chaussures et autres babioles. Je le regardait absente sur ma chaise encore toute endormie et en avalant ma pompot. Un bisous sur le front et aussi vite que son réveil il passe la porte, toute cette agitation me dépasse. 8h. Son heure de départ habituel. Je n’ai jamais compris pourquoi il se levait aussi tôt.
Sur toutes ces agitations je suis partie me recoucher.
22 janvier 2017
21 janvier 2017
20 janvier 2017
31 décembre 2016
24 décembre 2016
23 décembre 2016
22 décembre 2016
21 décembre 2016
20 décembre 2016
19 décembre 2016
Je jure
De nouvelles idées s’annoncent pour 2017 !
Bonnes résolutions : nouveau type d’errance !
11 décembre 2016
Pensées nocturnes brumeuses
La grande saint Anne soit elle, Trop grande avec moi même
Quelqu’un dans la rue m’entreprit, j’ai dis « je rejoins mon ami »
Les oiseaux me jugeant bien trop entreprenante
Satan dans ma cage d’escalier, me fait jurer de ne pas recommencer
6 décembre 2016
4 décembre 2016
3 décembre 2016
2 décembre 2016
1 décembre 2016
29 novembre 2016
28 novembre 2016
27 novembre 2016
26 novembre 2016
25 novembre 2016
24 novembre 2016
Psychanalyse des contes de fées
» Le petit chaperon rouge a été mon premier amour. Je sens que, si j’avais pu l’épouser, j’aurais connu le bonheur parfait »
Bruno Bettelheim