Errances

20 février 2017

Ceci n’est pas une pénitence

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Toute ma vie, je perdrai ma clé Usb car je ne la rangerai jamais dans un endroit normal pour une clé Usb.

Toute ma vie, je laisserai mes vêtements par terre lorsque je me déshabille avant de me coucher.

Toute ma vie, je galérerai à récupérer l’éponge au fond de l’évier car je ne l’ai pas poser sur le coté

Tout ma vie, je prévoirai une machine de sous vêtement uniquement lorsque je n’en ai plus de propre.

Toute ma vie, je laisserai mon chargeur branché même lorsqu’il n’y a plus rien à charger.

Toute ma vie, je préférerai entamer un pain frais plutôt que de prendre une tranche de pain plus vieux.

Toute ma vie, j’oublierai d’éteindre la WiFi avant de dormir.

Toute ma vie, je me perdrai en route car j’ai préféré faire confiance au GPS plutôt que de bien préparer mon itinéraire.

17 février 2017

un petit bout de rien

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Demain est arrivé si vite.

Y’avait pourtant pas beaucoup de doute possible.

Et si demain n’avait pas été là, les autres jours non plus.

Alors bon, je préfère quand même comme c’est maintenant.

C’est surement mieux comme ça.

15 février 2017

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Elle était là. Je la sentais. Sa respiration, sourde, lente, désaccordait le silence de la nuit. Elle restait immobile, à l’intérieur de cet espace clôt où j’étais, moi aussi , enfermé. Cela faisait plusieurs jour que sa présence avait été prouvé. Des traces extérieurs qu’elle seule aurait pu amener. Le vieil homme, malgré son âge, s’était, dès l’instant, lancé à sa chasse, avant d’abandonner au bout de deux jours. J’étais donc le premier à me trouver au même endroit avec elle. Respirant à peine, je n’osait plus bouger. Il était impossible de définir sa possible hostilité envers nous. En réalité, nous ne connaissions pratiquement rien d’elle. Les indices qu’elle avait laissé ne nous laissant aucune affirmation possible. Nous ne savions même pas par quel moyen elle arrivait à s’introduire ici. Le vieil homme avait pourtant enquêter, pas de trou dans les murs, les portes étaient solidement sceller. La voie des airs avait aussi été sécurisée grâce à un système de filet à mailles fines. Elle parvenait toujours entrer. L’idée qu’elle avait toujours été parmis nous avait commencer à s’immiscer dans les esprits. Le vieil homme refusait d’y croire mais n’arrivait à donner aucune autre solution. Je pense qu’une part intérieur de lui-même croyait fortement à cette possibilité mais pour lui qui avait connu la communauté depuis ses débuts, c’était impensable de l’affirmer. Cela aurait empirer les choses et elles n’ont pas besoin de ça. Elle s’était déplacé lentement derrière les poubelles. Il m’était impossible de la voir clairement mais les bruits émanaient bien de cette direction. L’ouïe restait ma seule arme. Je reculais prudemment. Ma main toucha le mur de parpaing froid. Je sursauta ce qui n’engendra aucune réaction chez elle. J’aurai voulu m’échapper mais la sortie ne figurait pas dans mes options. J’ai pétrifié par la peur. Rester ici immobile face à elle jusqu’au lever du jour était peut être ma meilleur chance. Il est aussi plausible que l’on retrouve mon corps, abandonné par la vie, aux premières lueur du petit matin.

13 février 2017

un état de droit

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12 février 2017

Les vacances ont trop d’effet sur moi

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Je sais pas trop, peut être pas. Ou peut être beaucoup. Je ne peux pas choisir, je ne suis pas ici, en ce moment, pour ça. Faudrait demander aux autres mais pour être franc, je ne suis pas sur que cela fera avancer quoi que ce soit.

7 février 2017

Décidément docteur, on vit une chouette époque

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Aujourd’hui j’ai lu l’Express, non pas à cause des beaux yeux enivrants de Barbier, mais y avait un truc qui me turlupinait depuis quelques jours. Je comprenais pas pourquoi ces derniers jours, tout le monde reparlait de la « vieille » ( presque 1 an et demi) affaire dont Mathéo m’avait parlé. Je parle de celle du jeune qui a eu son anus déchiré par une matraque de flic lors d’un séjour dans une fourgonnette. Je trouvais plutôt chouette qu’on reparle de cette affaire que tout le monde avait soit oublié soit jamais entendu parlé. Dans un monde qui a une date de péremption de la mémoire assez courte, ça faisait mon petit bonheur. J’avais lu aucun article récemment, je savais juste qu’il y avait un jeune homme qui s’était fait violer par des policiers avec une matraque en région parisienne. Ça pouvait qu’être la même affaire, c’est pas possible autrement mais j’ai quand même voulu éclaircir les zones d’ombres que j’avais. J’ai donc été un peu circonspect d’apprendre que la justice française a effectivement enregistré au moins deux cas de viols en réunion par des personnes dépositaires de l’autorité publique sur une personne avec l’aide d’une matraque inséré dans l’anus de ce dernier, ces dernières années ( c’est con mais faut préciser la matraque dans l’anus sinon le nombre de cas serait un peu plus haut).

C’est juste fou

6 février 2017

C’est avec joie que je publie mon 100ème post Errances

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4 février 2017

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Ça gratte, alors il faut gratter. Ça gratte partout, en haut, en bas, ici, là bas. Mes ongles s’abiment, la douleur augmente. Ça gratte encore, alors il faut persévérer. Je décide de gratter directement la peau, à travers les vêtements, je ne sens rien. Peut-être qu’en continuant, en augmentant, plus fort, la démangeaison partira. Ma peau commence a s’effriter, cellule après cellule. La douleur se fait de plus en plus forte. Mes ongles prennent la couleur du sang. Ça ne gratte plus mais ça regratte ailleurs, alors il faut recommencer. Peut être que si je gratte partout, ça ne grattera plus. Maintenant c’est par morceau entier que ma peau s’arrache, au rythme de mes ongles, toujours plus rouge. Je me souvient d’avant, quand ça ne grattait pas. Ce sont peut-être mes vêtements après tout. Je dois les enlever, il me gêne, ma peau ne les supporte plus. Ils sont désormais trop tachés de sang, mon sang, bons pour la poubelle. Ça gratte toujours. Ce ne sont peut être pas les vêtements après tout. Peut être que c’est ma peau qui ne me supporte plus. Allergique à moi même. Je dois continuer de gratter. Mes ongles commencent à se détacher. La douleur est horrible. Trop horrible. J’en récupère un que je tiens entre mon index et mon pouce pour pouvoir continuer à me gratter avec sans abimer ceux qu’il me reste. La peau part maintenant toute seule, telle le papier peint dans la chambre de papi. Elle continue pourtant de gratter. Tout ça c’est à cause d’elle, je n’en ai plus besoin, elle aussi je peux la jeter. Les lamelles se retirent assez bien. Plus surprenant encore, la peau des cuisses semble plus facile à arracher que celles des bras. La douleur est omniprésente mais les démangeaisons disparaissent peu à peu. J’avais donc raison. Je ne touche pas trop aux mains et aux pieds, ils sont ce que je préfère chez moi. Une deuxième personnes auraient été préférable pour le dos mais j’y arrive tant bien que mal. Je fini par le ventre, arrachant au passable un gros morceau de graisse. Je suis surpris de ne pas être tombé dans les pommes, la douleur étant suffisamment forte et diffuse que je ne sens plus mon corps. Cependant ça ne gratte plus. Cette pensée m’éveille un bonheur intensément calme. Je m’allonge sur le tapis saturé de sang et m’endors, paisible, loin de la folie du monde.

2 février 2017

De grands frissons pour de si petites notes

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un petit brouillon qui errait

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ça apeure, ça pleure, ça décrit, ça crie, ça enchaine, ça se déchaine, ça jaillit, ça faillit, ça explose, ça s’expose, ça monte, ça se démonte, ça suce, ça s’use, ça arme, ça s’alarme, ça envie, ça dévie, ça brûle, ça hurle, ça mâche, ça marche, ça gifle, ça gicle, ça spécule, ça recule, ça dérive, ça arrive, ça bétonne, ça détonne, ça cache, ça crache,

1 février 2017

« Je n’aime que les choses passionnantes, ce qui est intéressant je m’en tape »

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Cette phrase, c’est Brigitte Fontaine. Plus précisément lors de l’émission Boomerang, il y a 4/5 mois.

Je l’aime bien Brigitte, dès qu’elle fais une interview, tu sais que tu vas te marrer. Là non plus ça à pas manqué.

Si elle estime être « venu pour rien », ne pensez pas qu’elle feindra de passer un bonne moment, rituel auquel beaucoup sont passés maitres.

Elle est de ceux qui dise ce qu’ils pensent, sauf que contrairement à ton vieil oncle un peu aviné, c’est souvent très intelligent.

Je l’aime bien Brigitte, je comprend pas toujours tout, mais je l’aime bien.

Faudrait rebooster les ventes

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Il me semble raisonnable de se demander pourquoi Artemis offre à Procris des outils de chasse si celle-ci ne chasse pas

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Céphale prince Théssalien aime Procris fille d’Erechtée roi d’Athènes, qui l’aime en retour. Ils sont éperdument amoureux. Mais en Grèce, les dieux se mèlent de la moindre affaire de coeur. Céphale plaît à la Déesse aurore rencontrée à l’occasion d’une de ses nombreuses chasses. Elle va chercher à les désunir en instillant la méfiance entre eux. Aurore suggère à Céphale de mettre à l’épreuve l’amour de Procris en allant la séduire, déguisé en un autre. Si elle succombe, ce sera la preuve de la faiblesse de son amour. Lui, sûr de la passion de Procris se prête au jeu d’Aurore. Et bien sûr Procris succombe au charme de l’inconnu qui la couvre de cadeaux. Céphale révèle son identité et chasse Procris. Il va retoruver Aurore.

Procris est recueilli par Artemis en Crête et vit quelques années à ses côtés. Ele lui fait cadeau, pour la chasse, d’un chien infatigable et d’un avelot qui ne manque jamais sa cible. Procris décide de rentrer et de retrouvé Céphale ; de lui rendre la monnaie de sa pièce. A son tour elle se déguise pour le séduire, et à son tour il se laisse tromper et séduire par les cadeaux merveilleux de la jeune femme. Ndlr : Ici le mélange entre le réalisme psycologique et l’invraisemblance des situations est presque une condition nécessaire pour nous convaincre et à la vérité pour nous atteindre. Ils se réconcilient. Chacun aura montré sa faiblesse. Aurore est à nouveau contrariée.

Céphale aime Procris mais c’est un chasseur passionné : tous les matins à l’aube il part avec son chien Laelaps et son javelot infaillible, ceux que Procris lui a offerts. Elle se reveille seule et en conçoit de la jalousie. Va-t-il retrouver Aurore ? Un matin, un de ses soupsons la poussent à suivre Céphale pour l’espionner. Trompé par le bruit et croyant atteindre un gibier caché dans le fourré, il la transperce de son javelot. Elle meurt dans les bras de son amant

Azimut n°45, « Valentine, Milton & Procris »

30 janvier 2017

00h23

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L’endroit n’avait rien de particulier. Un simple banc en beton, abimé par le temps, un panneau où l’on pouvait lire Les Faroulais et des champs, à perte de vue. L’hiver approchait, le temps s’asséchait. La mairie avait beau avoir suspendu cet arrêt, le banc trônait toujours fièrement  sur le bas côté. Il n’était pas prévu que cela change. Dans le silence. Dans la nuit. Sous la pluie. Il attend.

Changer l’ampoule

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26 janvier 2017

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Pas d’histoire aujourd’hui, juste un dessin. Une petite ile, avec une cabane et un drapeau sur un mat. Faut pas grand chose pour une histoire. Au final rien que ça suffit.

24 janvier 2017

The Post War Dream

Filed under: chemins — Étiquettes : , — errant @ 00:46
tell me true tell me why was Jesus crucified
is it for this that daddy died?
was it for you? was it me?
did i watch too much t.v.?
is that a hint of accusation in your eyes?
if it wasn’t for the nips
being so good at building ships
the yards would still be open on the clyde
and it can’t be much fun for them
beneath the rising sun
with all their kids committing suicide
what have we done maggie what have we done
what have we done to england
should we shout should we scream
« what happened to the post war dream? »
oh maggie maggie what have we done?

22 janvier 2017

Campement sauvage

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A droite, rien. A gauche, j’ai essayé, rien non plus. T’as plus trop le choix maintenant. C’est tout droit. Alors bien sur, je t’entend déjà  » Ouais mais tout droit c’est risqué, c’est l’inconnu. C’est un coup à tomber dans un ravin. Et j’ai trop peur et nanani… ». Je sais que tu préférais faire marche arrière. Avant c’était mieux, c’était plus joli. Tu te souviens plus très bien mais le vieux monsieur de la télé qui bave un peu t’as dit que c’était chouette. Ba oui, mais en fait non. C’est peut être con mais c’est comme ça. Et d’ailleurs c’est mieux comme ça. Et tu peux froncer tes gros sourcils, ça changera rien. Tout droit à toujours été la meilleur option parce que c’est la seule. Les autres, c’est juste des petits sentiers qu’un jour quelqu’un à décider de créer. Mais il s’est sentit comme un con parce que ça menait à rien alors il a fait demi-tour ou il est mort. L’histoire précise pas ce détail.

Faudrait changer un peu

Filed under: chemins — Étiquettes : , — errant @ 00:14

ouais, je reprend les dessins que j’ai fais hier. Et ouais j’en ai rien à foutre

20 janvier 2017

Douce nuit

Filed under: chemins — Étiquettes : , — errant @ 00:42

Je psychote. Mais la psychose, c’est tout ce qu’il me reste maintenant. J’aurai préférer autre chose. Dehors ça braille. Peu importe, le sommeil ne sera pas de mon coté. Alors vas y, gueule, hurle, crie, chante, déchire toi la gorge. J’ai de quoi m’occuper l’esprit.

un dessin au crayon vert et une histoire pour enfant

Filed under: chemins — Étiquettes : , — errant @ 00:30

Il a beau pleuvoir, cela ne change rien. Tout le monde connait la fin. Elle n’est pas de celle où le héros vainc. A ce moment, on agite notre mémoire. Chaque instant. Tout. Quand on marchait, le vent nous déchirant la face. Quand on dansais et que je n’étais pas là. Tout. On, c’est personne. Mais pas tout a fait quand même. On, c’est beaucoup aussi.

18 janvier 2017

un dessin au crayon bleu et un texte

Filed under: chemins — Étiquettes : , — errant @ 13:58

Se motiver pour faire la vaisselle, chercher l’éponge, la trouver tout au fond de l’évier toute grasse, se mouiller les mains, se salir les mains, laver une poêle, ne pas faire attention, mettre de l’eau partout et surtout sur soi, avoir le nez qui gratte, se laver les mains pour se gratter, continuer à faire la vaisselle, passer 30 minutes a ravoir la casserole pleine de riz brulé, avoir le nez qui regratte, s’énerver tout seul, noyer des bébés chats dans l’évier pour se calmer, finir la vaisselle, se dire « plus jamais ça »

16 janvier 2017

En rentrant à 3 h

Filed under: chemins — Étiquettes : , — errant @ 01:28

Le noir, la nuit. Un bruit vague de voitures au loin. Tu dors profondément, happé par l’obscurité. Je ne sais pas de quoi tu rêve. Je ne sais pas si tu rêve. Paisiblement, le brouillard t’enveloppe, t’isolant pendant un instant, du reste. De la ville qui crie, qui hurle, qui grossit, qui aveugle, qui dégueule, partout. Qui ne s’arrête plus, qui s’obsède pour qu’on la remarque, rien qu’un jour. Elle ne t’a jamais intéressé, elle ne s’est jamais intéressé a toi non plus. Tu n’es qu’un outil. Un parmi tout les autres. Alors tu n’y prête pas attention. Tu es et ça te va. Tu semble être tombé pour toujours dans les limbes. Le silence se trouble. Tu ne l’entend pas, tu es trop loin. De plus en plus fort. Quelques rayons. Puis un halo qui obscurcit tout. T’arrachant de ton sommeil. Tu ne sursaute pas. Cette horrible bête n’en vaut pas la peine. Elle vient d’apparaitre qu’elle n’est déjà plus là. Te laissant à nouveau seul, dans le noir, dans la nuit.

15 janvier 2017

« Plutot que d’imaginer un futur lointain, tâchons de gagner la liberté d’investir le présent » Alain Bublex

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12 janvier 2017

un peu de photons d’énergie dans ce fond gris

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Ce dessin fait un peu trop logo de boite de céréales

10 janvier 2017

Décidement docteur, on vit une chouette époque

Filed under: chemins — Étiquettes : , — errant @ 01:34

Pendant ce temps, un média utilise cette image pour illustrer la mort d’une quarantaine de personne dû au froid en Europe, principalement des sans-abris.

le roi sans cheval

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Un jour, quelqu’un m’a dit :  » tu sais le commun des mortels n’est pas créatif ». Quelle tristesse.

Ça fait un petit bout de temps mais depuis ça m’est resté, c’est rare. Y’a pas beaucoup d’autre phrase dont je n’arrive pas à me débarrasser. Je comprend pas. Je comprend pas pourquoi, je comprend pas comment, bref je comprend rien à cette affaire. J’aurai tellement voulu répondre autre chose que             . Et ba oui j’ai rien répondu, j’ai pas acquiesser, j’ai pas grogner, j’ai rien dis. Je l’ai laisser penser qu’il venait de dire quelque chose d’intelligent. Quelle tristesse.

5 janvier 2017

l’icône « Coller en texte » ressemble à un casque de croisé

Filed under: chemins — Étiquettes : , — errant @ 23:26

C’est quand même fou.

C’est tout.

Je suis juste étonné de tout.

En bien ou en mal.

Il n’empêche que c’est fou.

Je sais pas pourquoi.

C’est peut être Noël et les fêtes.

Je raconte n’importe quoi.

4 janvier 2017

WordPress ne se souvenais plus de moi

Filed under: chemins — Étiquettes : , — errant @ 08:47

Cela faisait 12 ans que je n’étais pas revenu. Peut être 13. C’est dire. Je me trouvais là, debout, raidi par l’angoisse. Ouvrir la petite porte d’entrée n’était pas envisageable pour le moment. Trop de vieux souvenirs, trop de regrets, trop de tout. J’allais donc attendre. Je m’assis sur le banc à droite de la porte. Il avait été placé là pour pouvoir fumer dehors. Il n’y a plus de fumeur ici. Tout comme moi  il attend.

23 décembre 2016

Des arbres à abattre

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Père noël, d’où vient-tu ?

Père noël, que fais-tu ?

Mais où est ce que tu te cache ?

Gentil petit père noël

Ça serait bien qu’on le sache

Gentil petit père noël

 

 

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