Lorsque nous touchons un objet, nous y laissons un peu de nous-même : un fragment de peau et sa cohorte de bactéries occupées à dévorer et excréter. C’est notre signature olfactive. […]
Nous n’avons même pas à toucher un objet pour qu’il porte notre odeur : rien qu’en nous déplaçant, nous perdons des cellules cutanées. L’air s’embaume de notre sueur « déshumidifiante ». D’autant que notre odeur garde aussi le souvenir de ce que nous avons mangé, de qui nous avons embrassé, de qui nous avons pris dans nos bras. […]
Un chien dressé saura même distinguer deux jumeaux rien qu’en les reniflant.
Dans la peau d’un chien, Alexandra Horowitz, 2009
• L’araignée de mer à dû s’inspirer des poils du kiwi, le fruit
• Ou alors le kiwi, le fruit, s’est inspiré des poils de l’araignée de mer
• Les poils de l’araignée de mer se piquent dans la peau. Ça pique similairement à une écharde
• Omg j’ai 3% de batterie j’espère que je vais pouvoir publier l’article
• Les poils tombent facilement en caressant la carapace après l’avoir bouillie. Attention aux échardes, ça pique
• Attention à ne pas laisser bouillir trop longtemps la carapace du crustacé sinon elle se décalcinera et se fracturera
• je suis 25% intéressée par la continuité du processus
C’est la 2ème fois que je remplis cette bouteille avec de l’eau du robinet.
Filtre jaune = Amélie Poulain
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