Errances

17 mars 2022

Le drapeau du Mozambique est le seul drapeau national au monde comportant une arme à feu contemporaine, une Kalachnikov AK-47

Filed under: passerelles,- Till — Till @ 23:57

l’étoile jaune : la solidarité du peuple et la croyance du peuple au socialisme ;
le livre: l’éducation ;
la houe : les paysans et l’agriculture ;
le AK-47: la détermination du peuple à protéger sa liberté.

Maronnier de printemps

Filed under: - Casimor,passerelles — Casimor @ 23:38

Sa conscience inondée par l’orange de ses paupières fermées,

Son corps délié écoutant, à peine,

Ses ami.es qui lui parlent de flemme.

 

Filed under: - eejit — Murphy @ 21:47

Qu’est-ce qu’elle est djomb, qu’est-ce qu’elle est djomb

Filed under: - eejit — Murphy @ 21:46

ma gadji c’est petrouchka

Filed under: passerelles,- Ezra — Ezra @ 20:06

Le bleu
Pour la profondeur ou la couleur
Pour la vague et la marque qui reste
Pour la blessure et pour l’empreinte
Pour la trace laissée
Pour l’abîme

Et soudain

Filed under: - cboquen — cboquen @ 12:45

Et soudain le printemps revient,

le manteau ne tient plus

il devient trop lourd.

Le soleil reste plus longtemps,

les travaux reprennent,

et on prévoit déjà,

les vacances à la mer.

Terreau propice

Filed under: - Till — Till @ 09:51

Atomisation
Crise de l’identité
Atmosphère de délitement
Perte des valeurs partagées
Replis communautaire
Unité par exclusion
Solidarité ébranlée
Rejet de l’autre
Rédemption
Expiation

boomerang

Filed under: passerelles,- eejit — Murphy @ 09:24

ce matin sophie calle et augustin trapenard parlent d’errances

16 mars 2022

Filed under: - LYUBA — LYUBA @ 21:51

viens on le kidnappe

Filed under: passerelles,- gsarahdsgt — gsarahdsgt @ 13:26

on a une nouvelle mascotte, le chat du jardin est venu visiter l’atelier.

(je tairai le nom de la personne qui a lancé l’idée de kidnapping)

5 10 10 7

Filed under: - Casimor,passerelles — Casimor @ 09:00

Je cherche à aimer.

Autant d’instants que la haine épargne.

Autant de destins dont je témoigne,

projeté.es sur vos écrans.

.

파도

Filed under: - zeon — zeon @ 00:39

끊임없이 일고 부서지는 파도를 바라보는 일처럼

마음을 바라볼 수 있다면

더 많은 공기를 마실 수 있었을까

때로는 산산조각 나는 것 같기도 하고

때로는 반짝이는 것 같기도 하다

 

꿈에는 오래전 연락이 끊긴 친구와 매일 알 수 없는 언어로 대화를 나눈다. 파티에서는 내가 여태 만난 모든 사람들이 초대되었다고 한다. 회색빛 시멘트가 발린 큰 홀, 창문도 시계도 없어 시간도 알 수 없는. 알록달록 드레스와 표정 없는 사람들. 나는 끝내 나가는 문을 찾지 못했다.

나는 잠에서 깨자마자 인스타그램을 지웠다.

 

일어나는 마음이 있다면 그대록 일어나게 두는 건 어떻게 하는 걸까

나는 항상 파도에 휩쓸릴까 바람에 날아갈까 땅에 파묻힐까 비에 젖을까봐 두려운데

 

친구는 우리가 너무나 다르지만 사실은 우리 모두가 한 덩어리이기 때문에 결국엔 나도 그의 일부라 그는 나를 사랑할 수 밖에 없다고 했다 그렇지 않으면 나도 너도 그 아무것도 사랑할 수 없다고

나는 우리가 같은 행성에 살고 있지만 사실은 모두가 다 다른 각자의 우주에 살아서 너를 사랑하지 않으면 안 된다고 했다 그렇지 않으면 이 크나큰 텅 빈 우주에서 홀로 너무 외로우니까

 

꿈에 나오는 사람들은 어디선가 한 번은 본 사람이라고 했다. 혹은 그 사람들의 콜라쥬.

커피에 바나나을 넣어 먹는 사람

물고기 대신 유리병을 낚아올리는 사람

사진만 찍고 필름은 현상하지 않는 사람

자장가로 하드락을 듣는 사람

 

꿈과 현실 세계는 사실 별 다를 게 없다. 무작위로 사람들이 다녀가고 사건들이 일어나고 그것들은 내가 쓴 시나리오가 아니다. 우연의 연속이고 파도이고 바람 바람 바람.

 

꿈에서 나는 커다란 천으로 뒤덮힌 하늘에 구멍을 뚫었다. 찢길듯 펄럭이던 천이 잠잠해지고, 구멍 사이로 바람 지나가기 시작했다. 때때로 구멍 사이로 빛이 들어오기도 했다.

 

 

 

Comme le fait de regarder des vagues qui se forment et se brisent sans cesse.

Si je pouvais voir le cœur,

Je pourrais avoir respiré plus d’air?

Parfois comme si c’était cassé en morceaux

Parfois comme si c’était scintillait.

Dans un rêve, je parle avec un ami dont ses nouvelles sont coupées longtemps, en langue incompréhensible. À une fête, on m’a dit que tout le monde que j’ai rencontré jusqu’à maintenant était invité. Un grand hall peint en ciment gris, qu’on ne peut pas savoir l’horaire comme il n’y a pas de montre ni fenêtre. Les robes colorées et les gens qui n’ont pas de visage. Je n’ai pas enfin trouvé la sortie.

Dès que je me suis réveillée de mon rêve, j’ai supprimé instagram.

 

S’il y a un cœur qui se produit, comment faire le laisser se produire?

Comment sentir à l’aise d’être emportée par la vague, de m’envoler par le vent et d’être mouillée par la pluie?

 

Une amie m’a dit,
Nous sommes trop différents, mais en fait nous sommes tous une masse. Je n’ai pas d’autre choix que de t’aimer parce que tu fais partie de moi. Sinon, je ne peux pas m’aimer, ni toi, ni rien.

Je lui ai dit que,
Nous vivons sur la même planète, mais en fait, chaqu’un vit dans un propre univers différent. C’est pour ça que je dois t’aimer. On n’a pas d’autre choix que de s’aimer. Sinon, nous sommes trop seuls dans ce grand univers vide.

 

On m’a dit que des gens dans mes rêves sont la personne que j’ai vue au moins une fois qulque part. Ou la collage des personnes.

Celui qui boit un café en mettant une banane dedans.

Celui qui pêche une bouteille en verre au lieux d’un poisson.

Celui qui prend que la photo et qui ne la développe jamais.

Celui qui écoute du hard rock comme berceuse.

 

Le rêve et le mond réel ne sont pas si différents.
Les gens qui passent par hasard et ce qui se passent au hasard.
Ce ne sont pas des scénarios que j’ai écrit.
C’est la continuation de la coïncidence
et la vague,
et le vent, le vent, le vent.

Dans un rêve, j’ai percé un trou sur le ciel qui est couvert avec un grand tissu.
Le tissue qui voltait comme autant d’être déchiré se calme, le vent s’est mis à passer par le trou. Des fois, la lumière fréquente par le trou.

 

 

 

 

15 mars 2022

Mikhaïl Kalachnikov (1919 – 2013)

Filed under: - Till — Till @ 23:28

« Ce n’est pas agréable de voir que toutes sortes de criminels tirent avec mes armes. »

Filed under: passerelles,- Emmadubesset — Emmadubesset @ 21:23

 

 

 

 

 

 

Merci pour le gâteau 🛸🧈

Filed under: passerelles — Casper @ 14:41

c’était un hommage à mes copains que je vois une fois par an

Filed under: passerelles,- gsarahdsgt — gsarahdsgt @ 13:45

(du coup j’ai pas pris mon train le lendemain, j’ai cuvé toute la journée)

moi je mets des framboises dans ton muscador

Filed under: passerelles,- gsarahdsgt — gsarahdsgt @ 13:43

on s’est retrouvés à 19h30. ils ont dit « on se met rose bonbon », c’était un dimanche soir pourtant.

j’ai cassé le couvercle des toilettes du Bo Man et il s’est foutu de ma gueule. j’ai embrouillé un gars rue du faubourg montmartre, ils ont dit que j’avais trop géré la situation. on a dansé comme des fous et rigolé comme des débiles dans une vieille boîte nulle. il arrêtait pas de répéter « je passe une méga soirée avec vous ». il était 5h15 mais on voulait continuer la soirée, alors ils chantaient du laylow dans les rues vides. on s’est pris dans les bras sur mon pallier après avoir mangé des pâtes au pesto et réveillé mon père.

on se reverra sûrement cet été. ils me manquent déjà.

La levée du vent

Filed under: - Casimor,passerelles — Casimor @ 00:00

Combien de douceur

reste-il à ce printemps  ?

Continue à vivre.

14 mars 2022

Filed under: - LYUBA — LYUBA @ 21:31

Filed under: passerelles,- Till — Till @ 20:22

L’automatisation nuirait aux gestes ?

13 mars 2022

Invasion Planète X (1965)

Filed under: passerelles,- Louis Gipo — Casper @ 13:08

12 mars 2022

Filed under: - eejit — Murphy @ 20:20

1. je sais pas pourquoi j’ai posté un truc ultra romantique à 16h17 on va dire que c’est les fleurs et le soleil qui me font cet effet

2. à peine vingt-quatre heures après avoir juré ne jamais mentir dans mon écriture, j’ai désormais envie de faire de la fiction; du Louise tout CRACHÉ

Une histoire d’un soir

Filed under: - cboquen — cboquen @ 17:34

La rêverie est finie.

Cette soirée m’a fait croire en la réalité,

m’a prouvé que les vrais sentiments,

ben ça existe.

Meme si cette rencontre ne sera pas répétée,

qu’elle restera l’histoire d’un soir,

je reprend confiance,

et j’avance maintenant

dans un rêve éveillé.

 

Filed under: - eejit — Murphy @ 16:17

apprends-moi l’arabe

prends moi par la taille et appelle moi ton Mektoub

fais de moi la Leïla de ton Majnoun

Petite trouvaille

Filed under: - Till — Till @ 12:16

11 mars 2022

Filed under: passerelles,- Louis Gipo — Casper @ 23:58

j’écris

Filed under: - eejit — Murphy @ 22:03

Je sais rarement quoi écrire. Ce serait contre-productif de me réclamer d’écrire à un moment précis, parce que les choses marchent pas comme ça, je décide pas quand écrire, j’ai besoin d’écrire. Besoin d’écrire pour respirer, besoin d’écrire pour me retenir d’hurler, besoin d’écrire pas pour me contenir mais pour exploser sans heurter les gens autour, j’explose dans mon coin et ça me suffit. Et parfois les gens me lisent et c’est toujours un moment bizarre pour moi alors je m’en détache. Quand elle a lu le livre que j’avais écris au sujet d’une relation qui n’a pas aboutie, elle m’a dit: c’est ta manière de la faire exister. Et c’est ça. Et c’est plus que ça, c’est ma manière d’exister. Librement, et de la manière la plus honnête qu’il soit. Parce que je mens jamais quand j’écris — je mens quand je dis que j’écris de la fiction, ça oui, quand je dis que mon histoire joue sur la limite entre fiction et réalité. Je mens parfois aux gens, je me mens souvent à moi-même, mais je ne mens jamais à mon écriture. Mon écriture, c’est ma sincérité. 

rdv au soleil

Filed under: passerelles,- gsarahdsgt — gsarahdsgt @ 12:51

j’ai mis un pull jaune pour que la journée soit pas trop grise.

10 mars 2022

Semaine intense

Filed under: - cboquen — cboquen @ 19:26

Workshop encadré par le Studio Kiösk.

Produire une édition en 3 jours.

Expliquer ce que l’on ne comprend pas.

Simple.

 

ça va être chaud ce soir

Filed under: passerelles,- gsarahdsgt — gsarahdsgt @ 18:10

franchement j’ai la gorge serrée et l’estomac dans les talons. elle est nulle cette semaine.

et en plus t’as annulé le seul truc qui me faisait sortir la tête de l’eau.

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