Errances

24 novembre 2009

Favicon.

Filed under: sentiers — errant @ 16:40

dessin

dessin

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Petites explications :
– Le double « R » présent dans le mot errance.
– Les deux lettres se faisant dos, offrent la représentation stylisée de deux individus, avec pour ambition d’affirmer la notion d’échange présente sur notre bon site. Tout en respectant bien sur notre singularité à tous par cette séparation blanche entre les deux lettres/individus.
– Le choix coloré est lié à celui du site.

Oniomanie 2

Filed under: tortilles — errant @ 16:32

une animation de 5000 photos

Filed under: errances — tiry @ 14:27

World Series Time-Lapse by Robert Caplin from Robert Caplin on Vimeo.

perso je coupe le son.

Favicon x2

Filed under: tortilles — errant @ 13:54

Avec pour chaque, un format icône 16×16 pour voir ce que ça donne et un agrandissement.

Ambiance espagnole 04

Filed under: tortilles — errant @ 13:38

Sur le coin d’une table

Filed under: tortilles — errant @ 13:13


A partir de tâches existantes sur une table

Favicon ça c’est bon!

Filed under: tortilles — errant @ 13:03

La nature prend le dessus…

Filed under: sentiers — errant @ 09:40

photo

23 novembre 2009

abime.

Filed under: tortilles — errant @ 21:12

dimanche

J’ai couru au bout du couloir jusqu’à l’escalier de secours et là c’est parti d’un seul coup, je me suis mis à chialer, je pouvais plus m’arrêter, tout ça à cause de dieu qu’était si voleur, si pourri, si dégueulasse – c’est bien ce qu’il était, quand même de jouer un sale tour comme ça à cette femme. Descends de là-haut, Dieu, descends voir un peu que je t’écrase la gueule sur toute la ville de Los Angeles, pour toutes ces sales crasse pas pardonnables. Sans toi cette femme ne serait pas abîmée comme ça, ni personne au monde d’ailleurs, sans toi j’aurais pu me faire Camilla Lopez là-bas sur la plage. Mais non ! Faut que tu joues tes tours de vache, tu peux pas t’en empêcher : regarde, mais regarde donc ce que tu lui as fait à cette femme, et à l’amour d’Arturo Bandini pour Camilla Lopez.

Demande à la poussière (John Fante).

Mon O.N.I au Liberté

Filed under: tortilles — errant @ 21:02

Aujourd’hui j’ai été prendre en photo mon O.N.I au Liberté, il s’affichait entre 18h20 et 18h30. Un O.N.I (objet numérique intemporel) est un smiley à faire soi même sur www.voici-oni.org/. Vous choisissez son apparence, son nom, sa date et son heure de diffusion et vous pouvez le voir dans le hall du Liberté.
Cette installation interactive, créée par le collectif lyonnais Trafik, a remporté le concours lancé par la ville de Rennes dans le cadre du « 1% artistique » du Liberté.

4h du mat’, cravate?

Filed under: tortilles — errant @ 19:52

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mélange

Filed under: tortilles — errant @ 19:47

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Presque vrai

Filed under: tortilles — errant @ 19:22

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46bis rue de belleville

Filed under: tortilles — errant @ 17:46

aujourd’hui en cours de cinéma on a abordé le rapport entre image fixe et image en mouvement, entre cinéma et photographie.
on a regardé comme d’habitude plusieurs vidéos très sympa. je voulais vous faire partager celle-ci. spécialement à nadja..
« 46bis rue de belleville  » de Pascal Baes.
je n’ai trouvé qu’un extrait pour mettre ici mais vous pouvez voir ses vidéos en entier sur yellowhouse.
http://www.yellowhouse.tv/friends/pascal_baes/46_bis.html

autres ref peut-être plus connues mais toujours bien à revoir.
Hirishi sugimoto et la série « theaters »
« la jetée » de Chris Marker.
« 24h psycho » de Douglas Gordon.
« untitled film stills » de Cindy Sherman.
« blow-up » de Michelangelo Antonioni

le v’la

Filed under: tortilles — errant @ 17:18

des Dimwitt Taylor ^ potentiels

Filed under: tortilles — tiry @ 17:14

The Ten Step by Brendan Muldowney

Filed under: tortilles — errant @ 16:57

Bon peut-être connaissez vous déjà ce court métrage, mais je l’aime bien, je le poste. Il me fait vraiment peur.

Fissure au lointain

Filed under: tortilles — errant @ 15:37

Pourquoi ailleurs?… Pourquoi pas ailleurs!

Filed under: tortilles — errant @ 14:24

Tranchons !

Filed under: charmilles,tortilles — Étiquettes : — errant @ 12:07

Pour que se répande la joie de conquérir une nouvelle existence, il nous faut sortir du domaine des Idées, élaborer en commun les formes de vie à venir : que dans les corps en crise – écoles, hôpitaux, énergie, transports, agriculture, université – ceux qui triment songent à comment ils s’organiseront sans ceux qui sont là pour les gérer ; que ceux qui ne se résignent pas à l’apartheid rampant se réunissent pour savoir comment rendre immédiatement aux villes leur rôle et leur beauté ; que tous, nous préparions la mise à la retraite d’office des financiers, des économistes et des géopoliticiens.

Le temps n’est plus à l’indignation humaniste ni à l’analyse sociologique. Il ne s’agit plus de faire la critique de l’oligarchie au pouvoir mais tout simplement de la congédier. Car le maintien d’un régime responsable de tant de cruauté et qui n’en garantit que la permanence est une éventualité infiniment plus redoutable que l’insurrection qui vient.

Extrait d’une chronique d’Eric Hazan parue ce mois-ci.

don prestarelli : deuxième visite

Filed under: tortilles — tiry @ 02:25

don prestarelli from nadja on Vimeo.

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« Myoparasites »

Filed under: tortilles — errant @ 01:56

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Allez, on s’y colle…

Filed under: tortilles — errant @ 00:12

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Gonade

Filed under: tortilles — errant @ 00:08

22 novembre 2009

c’était pourtant pas la saison des cerises /c’était pourtant pas la saison des cerises /c’était pourtant pas la saison des cerises /c’était pourtant pas la saison des cerises /c’était pourtant pas la saison des cerises /

Filed under: tortilles — errant @ 22:56

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dimanche pluvieux

Filed under: tortilles — errant @ 22:26

dimanche

Masturbation intellectuelle

Filed under: tortilles — errant @ 21:33

mast

Pas de lecture

Filed under: tortilles — tiry @ 20:28

L’année dernière j’avais été marqué par le passage de Paul Virilio (http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Virilio) sur « Ce soir ou jamais » (meilleur émission selon moi, sauf que ça va trop vite maintenant, trop de sujets à la fois), avec ses théories très actuelles du coup. Et j’aimerais en lire plus, mais je ne sais vraiment pas lequel lire. Si vous avez une idée?

Extraits en vrac : l’image l’emporte sur le langage, l’écran domine l’écrit, le look l’emporte sur le contenu, de l’opinion à l’émotion, la vitesse c’est le pouvoir, il n’ya pas d’acquis sans pertes, la terre est trop petite pour le progrès, il n’y a que du maintenant, …
Wouh, des vérités générales Nadjic!

en vous remerciant.

Filed under: tortilles — errant @ 18:16

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Devant la loi, Kafka

Filed under: charmilles,tortilles — Étiquettes : — errant @ 17:53

Devant la porte de la Loi se tient un gardien. Ce gardien voit arriver un homme de la campagne qui sollicite accès à la Loi. Mais le gardien dit qu’il ne peut le laisser entrer maintenant. L’homme réfléchit, puis demande si, alors, il pourra entrer plus tard. « C’est possible, dit le gardien, mais pas maintenant. » Comme la grande porte de la Loi est ouverte, comme toujours, et que le gardien s’écarte, l’homme se penche pour regarder à l’intérieur. Quand le gardien s’en aperçoit, il rit et dit : « Si tu es tellement attiré, essaie donc d’entrer en dépit de mon interdiction. Mais sache que je suis puissant. Et je ne suis que le dernier des gardiens. De salle en salle, il y a des gardiens de plus en plus puissants. La vue du troisième est déjà insupportable, même pour moi. » L’homme de la campagne ne s’attendait pas à de telles difficultés ; la Loi est pourtant censée être accessible à tous à tout moment, pense-t-il ; mais en examinant de plus près le gardien dans sa pelisse, avec son grand nez pointu, sa longue barbe de Tar­tare maigre et noire, il se résout à attendre tout de même qu’on lui donne la permission d’entrer. Le gardien lui donne un tabouret et le fait asseoir à côté de la porte. Il y reste des jours, des années. Il fait de nombreuses tentatives pour être admis et fatigue le gardien par ses prières. Le gardien lui fait fréquemment subir de petits in­terrogatoires, lui pose toutes sortes de questions sur son pays et sur bien d’autres choses, mais ce sont des questions posées avec indif­férence, comme le font les gens importants ; et il conclut à chaque fois en disant qu’il ne peut toujours pas le laisser entrer. L’homme, qui s’est muni de beaucoup de choses pour ce voyage, les utilise toutes, si précieuses soient-elles, pour soudoyer le gardien. Celui-ci accepte bien tout, mais en disant : « J’accepte uniquement pour que tu sois sûr de ne rien avoir négligé. » Pendant toutes ces an­nées, l’homme observe le gardien presque sans interruption. Il ou­blie les autres gardiens et ce premier gardien lui semble être l’unique obstacle qui l’empêche d’accéder jusqu’à la Loi. Il maudit le hasard malheureux, à voix haute et sans retenue les premières années ; par la suite, avec l’âge, il ne fait plus que grommeler dans son coin. Il retombe en enfance : étudiant le gardien depuis des années, il connaît même les puces de son col de fourrure, et il sup­plie jusqu’à ces puces de l’aider à fléchir le gardien. Finalement, sa vue baisse et il ne sait pas s’il fait réellement plus sombre autour de lui, ou bien si ce sont seulement ses yeux qui le trompent. Mais il distingue bien dans l’obscurité une lueur que rien n’éteint et qui passe par la porte de la Loi. Alors il n’a plus longtemps à vivre. Avant qu’il meure, toute l’expérience de tout ce temps passé afflue dans sa tête et prend la forme d’une question, que jamais jusque-là il n’a posée au gardien. Il lui fait signe d’approcher, car il ne peut plus redresser son corps de plus en plus engourdi. Le gardien doit se pencher de haut, car la différence de taille entre eux s’est accen­tuée nettement au détriment de l’homme. « Qu’est-ce que tu veux encore savoir ?, dit le gardien. Tu es insatiable.
— N’est-ce pas, dit l’homme, tout le monde voudrait tant ap­pro­cher la Loi. Comment se fait-il qu’au cours de toutes ces années il n’y ait eu que moi qui demande à entrer ? » Le gardien se rend compte alors que c’est la fin et, pour frapper encore son oreille af­faiblie, il hurle : « Personne d’autre n’avait le droit d’entrer par ici, car cette porte t’était destinée, à toi seul. Maintenant je pars et je vais la fermer »…

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