Quand #13
Pour le respect de chacun les noms ont été changés
Quand je serais vieux
Quand mon temps se sera presque écoulé,
Que chaque nouvelle journée sera une nouvelle opportunité
Je tenterai de cultiver mes pensées, mes années.
Difficile de deviner l’avenir
Quand celui-ci, si proche est déjà fragilisé.
Profiter profiter profiter !
Voilà mes espoirs, mes attentes, ma destinée,
Ma vie consommer, car une fois la vieillesse arrivée
difficile d’y échapper
Mais celle-ci rencontrée, elle n’est peut être pas une fatalité !
Il suffirait d’avoir la santé.
Quelle santé !
Tout cela dans ce petit mot résumé
Et très longtemps à mon esprit garder.
Salut! Après toutes les références que l’on a vu cet après midi, je me permet d’en rajouter une couche:
Je vous présente un magazine graphique anglais: Koikoikoi, qui présente les travaux de jeunes graphistes, designers, photographes… Bref un régale pour les yeux.
Ci-dessus une image de Dima Rebus
« milles perspectives pour explorer des dessus, des dessous, des à droites et des à gauches, des ici et des là bas.notation multiples pou entrer dans les interstices des choses, pour faire l’investigation des creux, des passages et s’immiscer partout par la pensé, entrer dans les corps, longer les parois, s’introduire dans les placards, s’approcher au plus près de la matière pour saisir les agencements et les dispositions spatiales. »
Henri Gaudin, dessin de l’architecture, du dessin eu dessein, collection essais le lettre volée.
« J’ai peur d’avoir peur lorsque tu me dis que je ne dois pas avoir peur »
Ronald D. Laing, Noeuds
(merci à Fanny, qui m’a trouvé une sacrée perle!)
Ici (clic) un court texte avec ma réponse à Gwénaëlle pour le sujet « quand je serai vieille… ». (en 2012 je remplis les trous dans mes archives)
Premier dessin d’une série pour un projet éditorial à plusieurs… Plus d’info quand ça sera concret :)
« Les familles heureuses se ressemblent toutes ; les familles malheureuses sont malheureuses chacune à leur façon »
Extraits :
« Il faut l’admettre : il y a parfois plus de complicité entre un toast au saumon et une huître qu’entre deux personnes d’une même famille. »
« Il vous reste à identifier les pires fauteurs de troubles et à les traiter militairement. Chaque cible, sa solution. Pas de pitié. Tonton Robert ? Chaque année, il confond humour et alcoolisme. Raconte des blagues avec l’accent africain. Se mouche dans les doudous des enfants. Il faut le neutraliser. Servez-lui très tôt une dose massive de whisky. Il finira au lit avant 22 heures. S’il résiste, refilez-lui l’huître louche dont le parfum évoque tout sauf la mer. Au revoir tonton. »
« Que faire de l’aïeule ? Elle peut servir à dynamiter la tranche 8-13 ans, celle qui ne croit plus au Père Noël et qui piaffe devant le sapin. Les enfants craignent les très vieilles personnes. Rendez-la attractive. Rasez-la, habillez-la de couleurs vives. Organisez une chasse au trésor sur mémé en cachant des cartouches de jeu Nintendo dans ses habits. Entre la crainte et l’appât du jeu, les enfants n’hésiteront pas et mémé avalera son dentier de plaisir. D’une pierre, deux coups. »
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