25 septembre 2012
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Not long after the Sept 11 attacks, American gamers created a number of game modifications for games like Quake, Unreal and the Sims in which they inserted Osama Bin Laden skins and characters to shoot at and annihilate. Since the Sims is not a violent game, one Osama skins distributor suggested feeding the Sims Osama poison potato chips. If you cant shoot him, then force him to overeat American junk food, to binge, death by over-consumption, death by capitalism. (The Sims is essentially a game whose rule sets are based on capitalist algorithms, although according to the Sims designers these rules are balanced by other factors.)
The most disturbing Osama mod I saw was on display in October 2001 at a commercial game industry exhibit in Barcelona called Arte Futura. To give the exhibition organizers the benefit of the doubt, they were probably unfamiliar with urban American ethnic cartography. In this mod, Osama is represented as an Arab corner grocery story owner, as is common in many tough inner city neighborhoods in North America. The goal of the mod is to enter the corner liquor grocery store and kill the Arab owner. (At the time I saw this I had just gotten an email from my sister in Seattle describing how she and other college students were taking turns guarding mosques from vandalists.)
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24 septembre 2012
Entre la vie et la mort
Généralement, la plupart des vivants colorent la vie par leurs émotions. La joie colore la vie des couleurs de la joie et de la gaieté, comme s’il s’agissait là d’un délice éternel.
Le malheur, lui, colore la vie des couleurs de la tristesse permanente, et de la détresse éternelle. Ceci, alors qu’à la fin, la vie est ce qu’elle est, et ne se teinte d’aucune couleur que lui donnaient les vivants.
Dealer au Marché Noir
Nous étions au Marché Noir, la 1ère édition du Salon de la Micro-édition de Rennes.
C’était pas vraiment vendu sous le manteau, mais c’était chouette.
Brides
J’avais l’impression d’avoir éternué des tickets de métro dans des chiottes allemands j’ai un verre aux mains t’as des seins de la bouteille dans le groove.
Ceci était une vraie conversation.
Il y a foule ce soir.
Il y a foule ce soir. Des corps sans âme, des regards vide de sens. Il n’y a qu’une chose qui respire au fond d’eux, la peur. Le reste n’est rien. Ce soir est un de ces soirs les plus effrayants, ceux qui font parler pour ne plus entendre le silence. Et c’est dans ce chahut solidaire qu’ils oublient ce qui les pousse à rester ici, la peur.