Errances

11 novembre 2012

face de Balrog

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10 novembre 2012

Ein Kuss

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9 novembre 2012

My dear monsters

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8 novembre 2012

I am the spider!

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Première sérigraphie! trois couches, pas parfaites, mais j’en suis très fière \o/

50-50

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-So I felt like Stephen Hawking.
-Like a Genius?
-Nope. Paralysed.

5 novembre 2012

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Vladimir Malakhov and Nadja Saidakova
« WeiberTodTeufel »
1997

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Terry Pratchett, Les annales du disque-monde, Pyramides.

4 novembre 2012

Will I face the monster?

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3 novembre 2012

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Hé, mademoiselle!

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Tomorrow

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When the reality strike you down so hard. You were in this little dream, knowing it won’t last long. Telling yourself to be careful. Right, enjoy, but remember it’s just the moment. Hey, Tomorrow’s waiting for you. And tomorrow you’ll be there with your fresh memories and a few songs which could only make you think about those moments. Tomorrow’s hunting you.

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The big bang theory

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Did you ever tried to stop randomly during the generic?

29 octobre 2012

Au fait!

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p.s.: on a changé d’heure.

Pixel bubble

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28 octobre 2012

La piscine contre l’ennui

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Les jambes de la femme devant s’écartent et se referment méthodiquement avec propulsion. Elle porte un maillot brin échancré. J’observe à travers mes lunettes les rebondissements de sa chaire plus très ferme, mais contenue dans l’eau. Les plis du maillot sur ses fesses en action, son sexe recouvert qui se devine sous le tissus mouillé. C’est une avancée rythmée. Ouverture des jambes, propulsion, rebondissement des fesses. Les plis du maillot. Obnubilée par ses formes, je me demande combien de caresses elles ont pu subir, combien d’enfants sont sortis entre ces jambes. Si je ne ralentissais pas, je rentrais la tête en plein dedans.

27 octobre 2012

4chan, this is why I love you

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24 octobre 2012

Derniers essais

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22 octobre 2012

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B-B-Breaking News

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21 octobre 2012

Mulholland drive

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18 octobre 2012

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Et donc on parlait de culture.

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Ma copine se trouve quelque part par là.

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17 octobre 2012

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Il n’y a pas de satisfaction qui d’elle-même et comme de son propre mouvement vienne à nous ; il faut qu’elle soit la satisfaction d’un désir. Le désir, en effet, la privation, est la condition préliminaire de toute jouissance. Or avec la satisfaction cesse le désir et par conséquent la jouissance aussi. Donc la satisfaction, le contentement ne sauraient être qu’une délivrance à l’égard d’une douleur, d’un besoin ; sous ce nom, il ne faut pas entendre en effet seulement la souffrance effective, visible, mais toute espèce de désir qui, par son importunité, trouble notre repos, et même cet ennui qui tue, qui nous fait de l’existence un fardeau. Or c’est une entreprise difficile d’obtenir, de conquérir un bien quelconque ; pas d’objet qui ne soit séparé de nous par des difficultés, des travaux sans fin ; sur la route, à chaque pas, surgissent des obstacles. Et la conquête une fois faite, l’objet atteint, qu’a-t-on gagné ? Rien assurément, que de s’être délivré de quelque souffrance, de quelque désir, d’être revenu à l’état où l’on se trouvait avant l’apparition de ce désir. Le fait immédiat pour nous, c’est le besoin tout seul c’est-à-dire la douleur. Pour la satisfaction et la jouissance, nous ne pouvons les connaître qu’indirectement ; il nous faut faire appel au souvenir de la souffrance, de la privation passée, qu’elles ont chassées tout d’abord. Voilà pourquoi les biens, les avantages qui sont actuellement en notre possession, nous n’en avons pas une vraie conscience, nous ne les apprécions pas ; il nous semble qu’il n’en pouvait être autrement ; et, en effet, tout le bonheur qu’ils nous donnent, c’est d’écarter de nous certaines souffrances. Il faut les perdre pour en sentir le prix ; le manque, la privation, la douleur, voilà la chose positive, et qui sans intermédiaire s’offre à nous.
SCHOPENHAUER, le Monde comme volonté et comme représentation

15 octobre 2012

Communiquer?

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14 octobre 2012

Dessine-moi, Aller, aller!

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13 octobre 2012

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Désolée, j’étais chez Simon.

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