« je me tais parce que je n’ai rien à dire »
Trouver le lien manquant.
Souffler le vide ambiant.
Crève charogne, fumier, enculé, -vlan- une beigne !
C’était ça, qu’il fallait lui dire
Vous croyez pas qu’c’est un peu trop là. Non ce n’est pas trop. C’est con. Mais c’est pas trop.
Jacques Henri Lartigue,
Bécherel – deux photos posées sur la table. Merci, c’est gentil. Un tour en voiture. La campagne frontalière rennaise. « Je veux bien ces fesses – je veux bien ces seins, elles sont plus vieilles que moi et pourtant elles ont l’air moins périmées » allez, sans rancune. Tu parles
Paris capitale, vue urbaine, quand on prend de la hauteur tout paraît plus beau.
Et puis on s’enfonce, on plonge, on prend de la profondeur. Et parfois ça paraît flou.
« Sur un parking à vélo, un soir, il a dit qu’il avait souffert, souvent, qu’il s’était trompé quelques fois, mais qu’il avait aimé. Merde alors, j’avais du pain sur la planche. C’est vrai qu’il avait vécu. Mais pas aussi longtemps que Dracula. Dracula, lui, il avait vécu des siècles entiers – peut être pas assez longtemps pour connaître l’invention de l’anorak c’est vrai – et ça aurait peut être mieux valu. Je l’imagine bien lui, Dracula en anorak jaune, bleu ou rouge, protégé de la pluie et du beau temps – surtout du beau temps – et surement protégé des coups de foudre. L’amour, la passion, « tout ça tout ça »…qui le conduirent à sa perte. Regrettable. »
Enfin, vaut mieux mourir d’amour que mourir d’ennui.
La lumière qui s’en va, la lumière qui revient. J’ai bien cru tout perdre.
Perdre.
J’ai toujours pensé quand j’étais petite que c’était la pire des choses
Powered by WordPress