19 décembre 2017
18 décembre 2017
17 décembre 2017
16 décembre 2017
15 décembre 2017
14 décembre 2017
13 décembre 2017
12 décembre 2017
11 décembre 2017
Voir à l’intérieur.
» Vous voulez savoir ce qui se passe à l’intérieur des choses et vous vous contentez de considérer leur aspect extérieur; vous voulez savourer la moelle et vous collez à l’écorce. »
Franz Von Baader, cité par Susini, thèse, t.I, p.69.
10 décembre 2017
9 décembre 2017
Dans le brouillard.
Je suis en pleine torpeur.
Pourtant je ne pense pas avoir tort
quand je dis que je n’ai pas peur.
8 décembre 2017
6 décembre 2017
4 décembre 2017
3 décembre 2017
De visage en visage.
Passer de visage en visage,
Sans lever le crayon.
Peut être viennent ils de ma mémoire.
Des visages croisés,
Puis oubliés.
Ils refont surface.
Pour qu’on puisse enfin croiser
Leur regard.
2 décembre 2017
1 décembre 2017
29 novembre 2017
28 novembre 2017
Test de Rorschach.
Je vois… Je vois… Ah mais oui bien sûr ! Des poumons.
Je vois mademoiselle.
27 novembre 2017
26 novembre 2017
Beauté intérieure.
« Dans les planches d’anatomie
Qui traînent sur ces quais poudreux
Où maint livre cadavéreux
Dort comme une antique momie,
Dessins auxquels la gravité
et le savoir d’un vieil artiste,
Bien que le sujet en soit triste,
On communiqué la Beauté,
On voit, ce qui rend plus complètes
Ces mystérieuses horreurs,
bêchant comme des laboureurs,
Des Écorchés et des Squelettes. »
Charles Baudelaire, Le Squelette laboureur
(Les Fleurs du mal, poème XCIV)
25 novembre 2017
24 novembre 2017
23 novembre 2017
Merci la vie.
Quelqu’un doit m’en vouloir. Ou alors ai je fait quelque chose de mal. Dans tous les cas j’ai besoin de me plaindre… Merci à la pluie et aux feuilles mortes d’avoir retardé mon si joli train. Trente minutes sous la pluie et dans le froid sans aucune information, et bien sûr aucun banc sur lequel s’asseoir. Bref les joies de la SNCF. Après cette attente pour le moins désagréable je monte dans mon train et m’installe confortablement jusqu’à ce que je me rende compte que je me suis trompée de voiture, bien obligée de reprendre tous mes sacs et de changer au plus vite à la prochaine gare de voiture. Cette fois c’est bon, je chercher donc mon ordinateur portable pour continuer mon devoir d’histoire du design, puisque le train ne va pas bien vite a cause de ces satanées feuilles mortes autant en profiter pour travailler durant le trajet. Mais là miséricorde je ne retrouve plus mon PC, est ce que quelqu’un me l’aurait volé lorsque j’attendais à la gare de Quimperlé ? Il est vrai que je n’avais pas les yeux rivés sur mes sacs et peut être suis je punie pou mon inattention ? Après dix minutes de grosse frayeur et de stresse intense je le retrouve enfin caché derrière des feuilles et un carnet tout au fond de mon sac de course ikea (que j’ai dut bien sûr vider entièrement). Rebelote pour mes clés je ne les retrouve plus. Alors là c’est l’angoisse ultime, où est ce que j’ai put les laisser ? Seraient-elles tombées lorsque je courrait après le bus qui m’a amené à la gare de Quimperlé ? Ou bien les ai je tout simplement oublié dans le studio où j’ai passé ma semaine ? Dans tous les cas où vais je dormir ce soir ? Enfin bon vous imaginez bien dans l’état dans lequel j’étais: ventre noué, désespoir et envie de chialer un bon coup. Bon j’ai finalement réussi à mettre la main, plus de peur que de mal comme on dit. Allez savoir pourquoi je les avais mise au fond de mon sac de randonné, une délicieuse idée que j’ai eu là n’est il pas ? J’arrive enfin à Rennes avec 1h10 de retard, claquée je suis heureuse de retrouver mon appart que j’avais rangé avant de partir. Aaaaah n’est il pas enivrant de retrouver son chez soi ? Enfin les stress du voyage sont loin derrière moi. Je décide donc de me préparer un thé histoire de me réconforter de toutes ces mésaventure. Mais là SURPRIIISE: pas une goûte ne sort de mon robinet. Je n’ai plus d’eau. On m’a coupé l’eau. Plus d’eau chaude, ni d’eau froide. Ok je crois que je vais aller me coucher. …
et peut être pleurer un peu.
(son de la pluie qui tombe sur le toit de la gare de Quimperlé.)
22 novembre 2017
Flânerie et Hallucination à Clohar-Carnoët
Mais ne serait-ce pas le merveilleux château de Walt Disney que je vois au loin?
20 novembre 2017
19 novembre 2017
18 novembre 2017
Question d’échelle
Dans le désert s’opère un dérèglement de tous les sens, « le silence lui aussi se manifeste Autre, on ne peut plus considérer le silence comme le contraire du bruit, mais on est conduit à y voir un état qui introduit à une autre dimension du réel immédiatement intériorisée qui induit un nouveau rapport à la réalité. Il ouvre ainsi au monde ignoré des infiniment petits bruits. »
L’immensité désertique introduit paradoxalement à l’infiniment petit.
– Guy Barthélemy.
17 novembre 2017
Oublié puis retrouvé sur l’internet.
L’intérieur d’un livre, ça germe, ça fuit, ça prend vie.
Rhizome.