Errances

18 octobre 2016

Béatrice

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 22:43

« – Bas enfin Béa, tu viens de sortir du lit ?
– Ton style a posé un Rtt ? »

15 octobre 2016

FAIRE REVER LA CLIENTE = FAIRE PAYER LA CLIENTE.

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 23:47

« J’ai la delicatesse de n’exhaler aucun parfum, pour mieux offrir aux femmes la liberté de choisir le leur. Elle m’a toujours préféré blanc, comme un bouquet de lumière partout où l’on me pose. »

Si vous saviez comme j’en ai chier pour leur pondre ce carton !

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 23:27

capture-decran-2016-10-16-a-00-26-35

14 octobre 2016

Au revoir Christina.

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 23:56

Je m’en doutais.
Il se tenait là.
Il était assis parmis les autres.
Il avait relevés ses cheveux vers l’arrière.
Il était attablé là.
Il était beau.
Le sourire au lèvre à la terrasse du Loup.

J’adore l’hiver, je suis belle et riche.

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 23:39

11 octobre 2016

A bientôt dans la vie.

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 23:38

test

Vous avez bonne mine Monsieur le Président. Et encore vous n’avez pas vu le crayon.

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 22:58

hillary-holding-600px

MOCASSIN GUCCI

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 22:56

sans-titre-1

7 octobre 2016

Pierre ou François, François ou Pierre ou Pierre François.

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 20:00

On s’est croisé en s’ignorant.
Il a descendu les escaliers.
Il est venu.
Il a vu.
Et j’ai perdu.

4 octobre 2016

J’ai mangé une compote avec une cueillir à soupe.

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 22:10

photo-du-04-10-2016-a-23-09-2

30 septembre 2016

C’est pas facile.

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 21:46

dsc_1285

LA FASHION

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 21:43

capture-decran-2016-09-30-a-22-43-55

VIVE LA FASHION

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 20:12

dsc_1281

LES CHOCOLATS SONT ARRIVES ECRASES

Filed under: chemins,sillons — Étiquettes : , — errant @ 20:06

photo-du-30-09-2016-a-21-00

Je suis juste de dos, je suis parti et je ne reviendrai plus.

27 septembre 2016

Mannequins tendance de la saison

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 23:18

jpg4

jpg2

jpg3

jpg

25 septembre 2016

Une petite robe comme ça, qui dégage rien mais qui coûte une fortune.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 18:39

22 septembre 2016

Ça fait cher le RTT

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 23:43

19 septembre 2016

J’ai pris du Quartre-Quart.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 23:12

Ce matin j’ai pris du Quart-Quart.
J’en ai coupé deux tranches.
J’ai repensé à Séné.
À cette table ronde au milieu de la salle à manger, sur laquelle il y a pas si longtemps une nappe verte était dressée.
Où certains midis un petit morceau de papier était posé sur la commode de l’entrée, signe qu’il fallait venir me chercher.
On regardait Elise Lucet avant de zapper sur Arte.
Le plateau de fromage en bois tournait et le café coulait dans les mazagrans bleus.

Ce matin j’ai voyagé.
Je me suis retrouvé chez eux le temps du petit-déjeuner.
Le regard perdu au loin, encore endormi dans l’épais brouillard des marais.
Enivré par l’odeur du miel, du thé et des tartines grillés.
J’étais assis là à regarder les ilots de cacao couler dans mon bol de lait.

J’aurai bien voulu rester.
J’aurai préféré de ne pas m’en aller.
Rester encore un peu, attablé avec eux deux.
Ce matin j’ai pris du Quart-Quart et j’ai pensé très fort à Séné.

Vous me manquez aussi.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 19:54

photo-du-24-10-2015-a-23-09-5

17 septembre 2016

Mon futur Bureau.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 21:42

dsc_1257

Le bateau tanguait, la bouilloire sifflait, ma mère était en larme et il faisait beau.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 21:38

capture-decran-2016-09-17-a-22-33-43

On a gouté là, sur le murais de la place de l’église au toit bleu.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 21:29

capture-decran-2016-09-17-a-22-16-00

11 septembre 2016

RECTO DEVANT BABORD VERSO TRIBORD DERRIERE

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 23:19

Nous démarrâmes en direction de la maison.
Nous primes la vague en sortant du port.
Nous rangeâmes les pare-battes alors qu’au loin le petit phare blanc rétrécissait.
Nous tirions des bords par un vent au près et fûmes surpris par les dauphins.

photo-du-12-09-2016-a-00-08photo-du-12-09-2016-a-00-09

Le cheveux gras et la peau salée, une partie de l’été s’en était allé.

8 septembre 2016

Planter une graine et la laisser pousser.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 20:36

5 septembre 2016

Draguer à la piscine.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 00:18

Photo du 05-09-2016 à 00.07 #4

1er et Seconde classe.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 00:15

Elle était seule, assise sur un banc.
Le parc était plein, la pelouse était bondée.
Le vacarme assourdissant des enfants venus s’amuser un samedi après-midi ensoleillé nous entourait.
Elle était face à nous.
Elle était belle.
Elle avait sortie un carnet sombre aux feuilles épaisses et portait ses lunettes noires.
Elle décrocha son téléphone.

Elle était seule, assise sur un banc.
Le parc était plein et la pelouse était bondée.
Nous assistâmes désarmé à la scène qui se déroulait face à nous.
« Demain je vais prendre du temps pour moi ».
Elle raccrocha son téléphone et chassa de sa main les dernières larmes sur sa joue ridée.
Elle farfouilla dans son sac, désemparée.

Elle était seule, assise sur un banc.
La parc était plein, et la pelouse était bondée.
Je me suis levé et j’ai marché.
« Excusez moi, vous voulez un mouchoir ? »
Elle leva les yeux, ses bras son tombés.
Son visage s’est illuminé, elle m’a gentiment remercié.

Elle était seule, assise sur un banc.
Le parc était plein, et la pelouse était bondée.

29 août 2016

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 21:34

Bas sur son lit de mort à l’hopital vous croyez qu’il a demandé des nouvelles de son manège ?

25 août 2016

Limoncello.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 00:24

Ils ont klaxonné.
Je me suis retourné.
J’ai levé mon bras pour les salué en dissimulant fièrement la tristesse qui m’avait envahie.
J’aurai voulu courir pour les rattraper.
J’aurai preferer ne pas les laisser s’en aller.

Et puis ils sont partis.
Les vitres baissées et les bras levés en guise d’aurevoir.
Ils ont disparu.
Happés par le temps sous l’arche de la porte du Louvre.

Je suis rentré à pied.
Je n’ai même pas réussi à pleurer.

Je suis juste retourné au bureau.
Il faisait beau.
Sans doute trop chaud.

23 août 2016

Le tendre temps du petit café à la terrasse du Repos.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 00:21

Assis à l’arrière de la voiture qui traversait le sud, mes larmes coulaient le long de mes joues, camouflées clandestinement par mes lunettes de soleil noir. Il me restait 2 jours de vacances et mon enfance était finie.

Assis à la place 85 côté couloir, je faisais mine que tout allait bien pour ne pas donner un macabre spectacle aux voyageurs du wagon 20 du TGV 8796.

La vitrine du magasins était intacte, l’arrière boutique était foutue, victime d’un sérieux dégât des eaux.

On avait enfilé nos chaussures à la hâte, ma mère encore en pyjama conduisait adroitement la voiture jusqu’au lieu de rendez-vous. Nous descendîmes au milieu des touristes. Nous entrames dans la boulangerie. Nous achetâmes quelques pâtisseries.

Et puis nous sommes partis.

Il était assis sur son lit. Il défaisait sa valise vêtement par vêtement, tel un oiseau branche par branche confectionne son nid. Entre 2 tee-shirts il tomba sur l’enveloppe blanche fermée d’une petite gommette en or.

Prise par surprise la petite tour n’avait semble t-il pas résistée à la vague sournoise et fourbe qui était venu s’écraser sur ses paroies de sable fin.

Les larmes s’écrasèrent avec violence sur le parquet froid de l’appartement. Suicidèrent elles s’élancèrent en vitesse sur la joue avant de se projeter dans le vide et de s’écraser avec fracas sur le sol en bois.

J’ai pleuré la fin de l’été.

Filed under: corridors,sillons — Étiquettes : , — errant @ 00:06

Newer Posts »« Older Posts

Powered by WordPress