Errances

5 mars 2023

Voyage vers Riga

Filed under: - Louna — Louna @ 02:07

17 février

7h
J’arrive au Blosne à Rennes dans la nuit.
Un garçons ce situ sur un banc en parallèle de moi. Attend t’il lui aussi le covoiturage ? Il n’a pas de sac. Les écouteurs sur ses oreilles, je laisse le doute en suspend et commence à trier les photos dans mon téléphone. Le covoiturage arrive avec un peu de retard. Je m’avance pour trouver la conductrice, le garçon du banc se m’interpelle: « toi aussi tu te recherches le covoit ?
Nous attendons, nous observons,pas de voiture bleue. Et le ciel est toujours noir. Notre chauffeuse était à la station triangle. Elle nous retrouve. Les roues tourne, le moteur chauffe, le paysage défile et nos yeux se ferment.

11h
Il me parle de son rappeur préféré:
Furax barabarusa (Porcelaine)

12h30
Premier arrêt: Paris Nanterre
Il décent, une dame monte avec sa fille.
Elles ont toute les deux un bonnet rose, la mère s’appelle Fatima, elle est italienne avec des origines marocaines, elle est venue quelques jours sur Paris voir de la famille.
Nous repartons en route pour Beauvais.

Arrive à l’aréoport, les langues se croise et les roulettes des bagages s’entremêlent. Elle tient la pousssette je l’aide à porte sa valise. Elle me propose un café nous mangeons ensemble comme si nous nous connaissions, comme si les quelques heures de route passés ensemble avait créé un lien entre nous qui ne peu que nous inviter à prendre soin l’une de l’autre, comme si nous nous connaissions depuis plusieurs années.

Nos chemins se sépare.

16h30
Appel… mémé
Je te suis dans ton projet
Tu arrive à prendre un objet, un matériaux et à en créer totalement autre chose, tu es une créatrice. Ces parapluie c’est vraiment une bonne idée,
Il y a une histoire derrière tout ça. il faut trouver ton propre truc une sorte de camionnette ou tu te déplace pour créer. une sorte de ressourcerie mais avec ton propre nom. Il faut inventer un nouveau concept. Il faut s’accrocher pour continuer dans la création. Il faut aller jusqu’au bout même si la création est infini et qu’il n’y a pas vraiment de bout. Oui je vois ce que veulent te dire les prof pour la peinture, peut être que tu n’arrive pas à trouver cette liberté de création comme tu l’a à d’autre endroit, regarde Picasso, regarde le livre de Frida Kahlo.

16h45

Jappercois son bonnet rose. Elle ne me voit pas, je suis toujours au téléphone. Puis elle se rapproche pour venir me dire au revoir, elle demande à sa petite fille de me faire bye bye de la main, elle me souris. Puis elles sont parti.
Et je reste là sur la chaise à attendre l’heure.

Nous nous sommes revu et nous avions continué à échanger dans un anglais approximatif.

Place 29A

20h31
Toujours à Paris Beauvais
Bruit assourdissant, l’avion arrive enfin.
20h38
Les gens décendent

21h10
Installé dans l’avion nous l’allons bientôt décoller.

21h18
L’avion recule,
Les lumières bleue s’allument
les consignes de sécurités son énoncées 
L’avion avance
Les lumières bleue s’éteignent 

00h45
L’avion atterri

01h25
Les retrouvaille

Un repas puis nous sommes reparti pour la grosse soirée dans les beaux arts de Riga

06h30
Nous rentrons

07h03
Tout le monde au lit

18 février

Visite de la ville
Musée de la porcelaine
Les canars dans l’eau glacée et sculpture frigorifiée
Il fait froid
Saline peint sur un vase
Le thé et les bonne pâtisserie

19 février
Claque claque dans la nuit, les lattes du lit se sont enfuit. Le postérieur bien rempli est maintenant avachi.
Le réveille sonne à 8h45, une douce mélodie, bruit de nature, retenti. Naturellement nos yeux se referment. Clémence recule le réveille plusieurs fois sans que Louna ne s’en aperçois.
Une fois emmitouflées, elles se dirigent vers la gare. Louna a 14 couches de vêtement sur elle et clémence en a 9. Elles s’imagine être des arbres, plus de vêtements il y a plus la personne est âgée comme on peut deviner l’âge d’un arbre à son nombre de rénure sur sa souche.
Elle se dirige gaiment sur le chemin de la gare sans savoir qu’elle s’apprêtait à choisir une destination fantôme. Arrivée, trois destination d’offre à elle, il est déjà 12h elles décide ensemble de prendre le train dont le départ est le plus proche, 10min plus tard nos deux protagoniste démarre en destination de skulta. Et là…. c’est le drame… Cette station qu’elle pensait balnéaire, n’est rien d’autre qu’un lieu entouré d’une maison en bois, d’une usine et de de n’évalua d’arbre. Elle tenteront avec espoir de rejoindre la mer à pied puis en stop mais rien y fait. Le vent est de plus en plus froid. Elle s’abrite donc dans la cabane au papier peint vert. Depuis la fenêtre adossée au radiateur elles observent la neige tomber, d’abord un flocon puis 2 puis 200 puis 2000 mille et tout deviens blanc. Blanc comme le bonnet en laide de Louna sur le rebord de la fenêtre.

25 février

Beaucoup de jours ce sont écoulés et je n’ai pas écrit dans ce journal…

La journée a commencé là où celle d’hier cést terminée, au « balala », un club dans Rīga. Après une petite soirée chez des amis italien

26 février
« Je range mes souvenir dans une enveloppe »

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