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Elle passait toutes ses journées,
dans le silence menaçant de la plaine sans soucis,
sans pensées, poursuivant des rêveries vagues,
indéfinissables, intraduisibles en aucune langue humaine.
Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902
Elle passait toutes ses journées,
dans le silence menaçant de la plaine sans soucis,
sans pensées, poursuivant des rêveries vagues,
indéfinissables, intraduisibles en aucune langue humaine.
Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902
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