22 novembre 2014
Je sais aujourd’hui pourquoi elle se fait
Son visage se rougit avec son regard étranger, elle ne rentre pas encore chez elle.
Ne bougez pas, j’attends comme ce soir depuis longtemps.
Laissez-moi votre corps aux mes mains rudes
Je ne savais pas avant l’usage de mes mains inutiles.
Appelle-moi, lorsque vous seriez solitaire.
Mon dieu, susurrez-moi les mots doux a l’oreille.
Quand on regarde la télé, on mange, on conduit, n’importe quand.
Ce jour a lieu finalement pour moi qui n’ai aucun nid d’amoureux.
Appelle-moi, lorsque vous en auriez marre d’être seule au soir ou vos joues se rougiraient.
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