Errances

15 février 2016

lundi 15 février

Filed under: corridors — Étiquettes : , — errant @ 21:56

A la conférence ce Pierre Beloüin j’ai découvert Jean luc Verna. Je suis hypnotisée par cet artiste. C’est beau. C’est fort. Et vrai. 

En fait je change ce post, j’ai envie d’écrire ce soir. Je me demandais en regardant un mur de Carole Rivalin ( posca au musée des beaux arts de Rennes) quel est le plus intéressant en peinture : donner du volume à du plat ou donner du plat à du volume ? Faut tester les 2. Je dois réfléchir ça bientôt. 

J’ai regardé longtemps et le boulot de Loreto Martinez Troncoso, cette plasticienne pratique la performance parlée. 

La peinture aborigène m’ouvre encore plus ma tête d’occidentale. Il est question du concept du rêve, qui est une croyance universelle dans l’Australie Aborigène. Ces sociétés ont prévu dans leurs structures même un principe qui leur permet de comprendre et d’interpréter les changements affectant leur environnement naturel ou social.

Vive Claude Levi Strauss aussi. 

Sol Lewitt ça me fait un peu peur, il dit que faut pas donner d’explications à ce qu’on fait. Nicolas Chardon est un peintre qui utilise des tissus vichy (et d’autres motifs) afin d’avoir une grille à caractérisé. Ensuite en agrafant la toile, ça devient des lignes toutes courbées par la tension.

William Burroughs aussi fait un peu peur mais il a plus ou moins inventé le cut-up littéraire. Je préfère Bernard Heidsieck avec la poésie sonore.

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