La prairie labourée
Sentant l’herbe fraichement coupée,
une prairie s’évade sous mes pieds
et sa terre jadis labourée par mes doigts fatigués
de mettre laisser prendre par la grenadine piégée.
Ton blanc Ramos me fait transpirer
empreinte de ta coquetterie si maligne.
Un paysage qui par mon souffle élancé
cette fois sera rouge grenade ton pull retiré.