Ton corps sur le mien traverse l’hiver,
endormons-nous sous le vieux chêne.
Les corbeaux nous sifflent de si loin dans la plaine;
oublions qu’ils seront là demain.
moi, renard, je nous regarde naître
Ton corps sur le mien traverse l’hiver,
endormons-nous sous le vieux chêne.
Les corbeaux nous sifflent de si loin dans la plaine;
oublions qu’ils seront là demain.
moi, renard, je nous regarde naître
No comments yet.
RSS feed for comments on this post.
Powered by WordPress