Del Amor y otros demonios
« En voyant l’immense forêt d’Uraba depuis l’embarcation qui les emportaient vers leur nouveau destin, Delaura reconnut les nostalgies qui tourmentaient sa mère durant les hivers lugubres de Tolède.
Les crépuscules hallucinants, les oiseaux de cauchemar et les pourritures exquises des mangroves évoquaient en lui des souvenances bien-aimées d’un passé qu’il n’avait pas vécu. »
– Gabriel Garcia Marquez