Errances

3 février 2022

Filed under: passerelles,- Louis Gipo — Casper @ 22:38

Poussière interstellaire

Poussières interstellaires de la nébuleuse de la Tête de Cheval, révélées par le télescope spatial Hubble.

En astronomie, la poussière interstellaire1 (en anglais : interstellar dust2) est une composante du milieu interstellaire. Elle constitue une fraction importante de la poussière cosmique (cosmic dust3).

Représentant à peine ~1 % de la masse du milieu interstellaire, la poussière interstellaire est constituée de particules comportant de quelques dizaines à quelques milliards d’atomes seulement, ce qui correspond à des tailles typiques de quelques nanomètres à ~0,1 micromètre. La taille d’une particule peut exceptionnellement être nettement supérieure, jusqu’à 25 µm de diamètre4. La masse volumique de la poussière interstellaire est semblable à celle de la fumée de cigarette5, soit pour la bulle locale environ 10−6 grains de poussière/m3, chacun ayant en moyenne une masse d’environ 10−17 kg6.

Les poussières interstellaires se distinguent en fonction de :

La poussière interstellaire atténue la lumière. Elle diminue la luminosité des étoiles d’environ la moitié toutes les 1 000 années-lumière5[source insuffisante]. Par contre, elle n’atténue que la lumière visible et n’affecte pas les autres longueurs d’onde5[source insuffisante].

 

La poussière interstellaire est principalement formée par des étoiles entrées dans la phase géante rouge de leur évolution. La grande majorité des particules interstellaires proviennent des résidus d’étoiles éjectés par ces dernières en fin de vie[réf. souhaitée].

 

En gros, une étoile qui meurt devient incontinente :elle a des flatulences qui génèrent de la poussière !

 

Je préférais quand je t’imaginais flotter entre les étoiles.

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