Errances

11 janvier 2021

BURN

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BLACK SNAKE 1

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Bénit soit le grand serpent de bitume. Qui chaque jour nous gratifie de ses écailles. Nous suivons sa voit, le chemin qu’il à dessiner pour nous. Et si certain trouve en la figure du serpent le mal absolue, je leur laisse le soin de jouer les anges Gabriel et de terrasser le dragon. Mais si la route est belle et bien un grand serpent à la peau rugueuse et noir, il doit naturellement exister une tête, et une queue. Ou, autre hypothèse, c’est un serpent qui se mord la queue. Mais alors toute recherche d’extrémité de corps est impossible.

Pour ma part, après avoir écumer de bien belle écaille au guidon de mon cheval de fer, je suis presque persuader que la légende du serpent de la route devrait être écrite. Et que dans ma version de l’histoire, la tête et la queue ne se mordent pas. D’ailleurs j’en chercherais la trace. Je suppose aisément que la tête devrait être en hauteur, et que le bout de la queue se trouve dans une sombre grotte.

Et si se mythe dois être écrit, il suppose bien des effort d’imagination au lecteur qui devra sans nul doute imaginer une grande partit de la cohérence narrative. (ce que toute religion fait d’ailleurs)

L’histoire du grand serpent moderne remonte à déjà bien des années. Mais le culte de sont corps commence et laisse ses première trace qu’a l’apparition de sa première mu. A savoir l’arrivé du noir bitume. Vers les année 1920. Avant cette date, le serpent n’était que poussière et boue. Et si maintenant il nous parait assez évident de le caresser de nos roue en caoutchouc, sont apparition coordonne avec l’arrivée de ses disciples et la fuite de ses opposants principaux: les charrette à chevaux. Qui aimerais se faire marteler le dos de sabot ? Certainement pas le serpent.

10 janvier 2021

Carnet rouge

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Samedi 2 Novembre 2019

NABUCHODONOSOR

Terrasse, 12H10

Rouge « pays de Gascogne »

Cigarette « 1637 » blond.

6H27

Une journée  passé trop vite, une nuit trop courte. Le jour n’était pas encore levé. Après une brève respiration par la fenêtre froide et humide de l’appartement, l’envie me pris de partir. Rien pourtant ne poussera à fuir. Tout était à peu près propre, la vaisselle sèche, le linge plier, stylos, croyons et papier au garde à vous… Tout m’attendait et pourtant. L’envie me pris de partir, de tout basculer, de prendre la tangent. Une digression dans une journée banale. Prendre le large, respirer, voir du pays. Voilà. C’est çe que je ferais aujourd’hui ! *** 6H40 destrier sellé, hennissant et rugissant d’impatience, le départ se doit d’être bref, sans remords, sans regrets. La route encore humide l’air frais prenant à la gorge… c’est comme ça les aventures. 6H55 sur la route.

Quel destination ? Mmmm Saint Malo.

Une direct mène à saint Malo. Une double voie traversant les terres bretonne, peu de charme et plutôt monotone, mais à cette heure ci, sans voiture et dans cette fraicheur matinal on, se laisse bercer au grès des kilomètres

. Le conteur électronique affiche un bon 140 kilomètres par heures. Une vitesse rapide mais pas excessive au vu des circonstances. *** La route défile, le paysage lui est noir, les phares ne montrant qu’une direction, on avance. 7H37. On arrive près de la mer. Le soleil à déjà enrobé le ciel d’un doux gris pale et le vent se fait ressentir malgré l’écharpe qui flotte au vent. La mer est la. Bien loi de la digue d’ailleurs. La marrée ! Un mot qui semble oublié. Un mot qui l’on ne prononce pas souvent mais qui pourtant encore et toujours sans cesser depuis la nuit des temps. Curieux. Une longue plage de sable se dessine au bord de ST Malo. La mer est houleuse et laisse sur le sable de longue langue d’écume blanche. Au loin une pente en béton descend sur la plage.

Je descend de mon destrier, Ote mon casque activement et trottine vers la plage. Sous mes pieds le sable est dure, lisse et de couleur cuivrée. *** Après tout, pourquoi pas ? Je renforce la bête de metal, démarre au car de tour, le casque sous le bras, me voici dans mal pente. Je m’arrète à 3 ou 4 centimètre du sable. D’un coup de Gaz rageur je débarque !

Le Sable confère une drôle de tenu de route. Les roues semble perdus, sans repère, sans appuie. Je me souvient alors de ces hommes, debout sur leurs montures, affrontant les dunes du Sahara. Un seul mot d’ordre, Gazzzz. En tournant la poignée, le poids de la moto se transfert à la roues arrière, libérant ainsi l’avant de toute contrainte physique. Seul le regard compte, la moto vas là ou l’on regarde.

Rouler sur la plage !

Quelle sensation, l’air dans les cheveux, le nez au vent, on roule. Regardant la mer on joue avec elle, avec la l’écume, avec les vagues. On se fait vite surprendre à rouler trop près d’elle. Brusquement la mer se brise sur la plage. L’eau monte vite, d’ailleurs il est trop tard pour changé de trajectoire ! L’eau est sous nos roues ! On navigue alors dans une gerbe d’eau saline, projetant ses gouttes sur mon visage. Et aussi brusquement qu’elle est apparu, la mer se retire. On élargie alors la trajectoire et on sourit. Au bout de 4 ou 5 aller et retour je m’arrête, regardant se flot perpétuel et devant un tel mouvement l’Homme, l’animale ou la machine ne peuvent qu’abdiquer.

8 janvier 2021

on lui a fait la peau

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6 janvier 2021

Keep out just let it burn

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5 janvier 2021

golden

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27 décembre 2020

filtre d’amour

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25 décembre 2020

Deck foret

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Vielle de noel, on à jouer au carte Magic. Un rituel perpétué depuis maintenant plus de 7 ans. Le champs de bataille opposé un deck foret contre un deck foret. La guerre fut terrible. 

Joyeux Noel

24 décembre 2020

L’essence de l’homme

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*

*200$ hors taxes. Le luxe à la française 

 

23 décembre 2020

Un berbère se balade en chameau dans la jungle

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18H15 je suis déjà en retard, la capital presse.

Les horloges de cette ville sont sans doute détraquées. Impossible d’être à l’heure.

Paris, quand tu la roule et que tu connais mal, c’est un enfer. C’est une jungle de boulevard, de rue, de feux, de taxis et autres Uber prêts à te bondir dessus. Tous pullulent et luttent Hardament pour avaler du bitume le plus vite possible. Un chaos y règne. De nuit, c’est une orgie de phares et de lumières dans tout les sens, et si vous ajouter à cela la pluie, alors sur la visière du casque ça deviens le purgatoire. Une heure de pointe ici signifie un trident qui te pique au cul toutes les secondes. Le diable règne sur cette capital. Ses démons sont des scooters T-max équipé Akrapovic, c’est sbires sont les flics et les vélos. Terrifiant je vous dit !  Du marrais à concorde c’est facile, mais après, bon dieux après c’est le boulevard Hausseman. A 18H30 c’est un champs de bataille ! À chaque feux, c’est une armée qui charge. En ligne et de façon ordonner. Une légion de moteur vrombissant qui attend qu’une chose, le feux vert. Les scooters et motos en première ligne, derrière c’est BMW et taxi noir, et derrière encore les bus et autres monstres à roues, prêts à vous bondir dessus si vous ne respecter pas le signal piéton qui leur octroient le passage. Devant, c’est plus de 2 kilomètre de start and go, de ligne blanche, de furieux bloqués au milieux des carrefours,  et de vélos fou prêts à tout griller. Y compris ta priorité. Tous n’ont qu’un seul but, celui de rouler le plus vite possible vers leurs destinations, en jouant des coudes, du klaxon, et des coups de freins dans un baroufle mécanique.

Juché sur un chameau Allemand, puissant et ronflant mais terriblement encombrant et peu maniable car adapter au désert, ma traversé de la capital fut plus que rude. Dans ce safari, ou règne des règles de bonnes conduites, où le danger et la peur règne pour les new comer comme moi, le choix de la jouer à la régulière semble la bonne idée. Tout du moins au départ. En fait jusqu’au moment d’arriver sur le premier boulevard. Apres la vie cruel reprend ses droits. Pas de place dans la jungle mécanique aux demis mesures. Quand derrière l’armée du troisième feux rouge arrive gaz en grand, et que dans tes rétroviseurs tu vois arriver cette masse de lumière et bruit te fonçant dessus, alors, à ce moment précis, on rive ses yeux sur le feux, et on entend les secondes s’égrainer une à une, dans un tic tac long, si long que quand le la lumière du feux passe au vert, GAZZZZZ comme mot d’ordre. Comme un réflexe animal. Regard rétro, ouf. Ils sont semés.  HIIIIII Devant ça pile déjà ! Et les autres feux passe au vert. Merde mais je suis au milieux d’un carrefour, et ils me foncent dessus, merde, à droite ça passe ? faut que je me dégage de là !  Oui non et toi tu avance ? Merde mais avance. Attention au scooter ça arrive vite, à droite ça se dégage. Embrayage, buté de guidon, on évite de taper la bagnole de gauche, etttt merde c’est rouge. Putain mais j’ai pas fait 200 mètres !  Et dans ce chaos arrive alors comme une oasis, comme une délivrance, comme une sainteté divine, seul et unique chemin qui mène au paradis. La voix de dieux: la voie de bus

OUIIIII OUUUUU OUIIIII OUUUUU « LES VOIES DU SEIGNEUR SONT IMPENETRABLE » Violation du code des enfers. Monsieur ça fera 135 euros. Me dis-je. Tant pis, au moins je roulerais sereinement.

19H20 arrivé à Malesherbe. Soit une heure et cinq minutes après pour moins de 6 kilomètre. Moyen donc, 6 kilomètre heure. Pas mal pour un chameaux en pleine jungle.

21 décembre 2020

Question d’ego

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Je vais demander la Sorbonne en lettre et un CAP mécanique. J’aimerais faire mon CAP mécanique en alternance à la Sorbonne.

 

Me suis-je bien fais comprendre ?

19 décembre 2020

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Brought superior SS100 bert vack 2016

18 décembre 2020

choux blanc N°2

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16 décembre 2020

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Paris>Marseille à 300km/h

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12 décembre 2020

Old Dream

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Quand elle déposa le premier sur la table, je restai un moment sans comprendre qu’il s’agissait d’un vieux rêve. Après l’avoir contemplé un long moment, je levai la tête et regardai la jeune fille debout à côté de moi. Sans rien dire, elle regardait le « vieux rêve » posé sur la table. Le nom de «vieux rêve» me paraissait convenir particulièrement mal à cet objet. Le nom de « vieux rêve » évoquait plutôt dans mon esprit de vieux documents. Du moins m’étais-je attendu à quelque chose d’une configuration plus vague, plus insaisissable que cela. 

Haruki Murakami La fin des temps

***

La statuette de plastic était la, sur la lourde table en marbre de mon appartement. C’est si étrange de revoir cette objet disparu depuis tant d’années. Voila que sans prévenir, cette penser sculpté, ce futur improbablement miens reviens frapper à ma porte. Je suis bouleversé. Je ne comprend pas comment quelqu’un à pu la retrouver. Dans mes souvenirs cette petite statuette mental de mon possible futur avait fini dans un fleuve.  Je me revoit maintenant la lancer dans les eau troubles du fleuve agité et boueuse. Tu en veut du rêve ? Moi je vais t’en offrir, criais je, avant de la lancé le plus loin possible.

Et maintenant, elle est sèche et sur ma table. En m’éclaboussant au visage mon ancien bonheur de vivre, celui qui m’animait hier. Sur le socle de celle ci était inscrit, « No border go further ». Au dessus des grosse lettre capital, le sol du socle, très bien texturait et évoquer les plus sec désert que cette terre porter, et marchant la tête conquérante, Un singe, moi et mon ami Dylan. Nous sourions tous, et avions le regard porter sans doute vers de futur.

«  Monsieur, c’était un très beau rêve.. sans doute le plus beau de votre vie. Savez vous ou je l’ai retrouver ? Dans le désert de l’Utah il y à moins de vingt jour. Dans le nid d’un aigle.

10 décembre 2020

Velocità ceremoniale / Supīdoseremonī

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Acier 1mm et cotton riveté.

L’EFFONDRATION

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Le fou sur le sable a battit sa maison

8 décembre 2020

N’est-elle pas mignonne ?

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TOURNER EN ROND

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A force d’y penser je crois que c’est du carburant qui coule dans mes veines. J’ai du être tremper dans une cuve de Sans plomb 98 quand j’étais gosse, c’est sur.

Il y a pas très longtemps mon père m’a raconté comment j’ai été conçu, et finalement cela explique pas mal de chose. A l’époque mes parents volaient des Jet pour un riche vendeur de moquette.  Au cours d’une escale en Russie, il sont partis voir une course de motos sur glace. Et c’est se soir la, après une soirée arroser au champagne que la course des spermatozoïdes à commencer. Sans doute que je monter déjà une Ducati V4 pour gagner aussi facilement… Bref je crois que mon essence c’est l’essence. Les sensations mécaniques c’est congénitale. Faite donc gaffe mademoiselle si vous vous taper un motard, ou un fan de tuning, votre gosse pourrais bien être contaminé aussi.

Et il n’y a pas de remède.

7 décembre 2020

701&ZEUS

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5 décembre 2020

On connaît déjà le dicton : « CRS = SS »

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4 décembre 2020

ZEUS ET 701

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Un vent terrible souffler en cette fin aout dans le sud de la France.

L’air était charger electriquement depuis plusieurs jour déjà. La terre sèche du sud était sous tension en attendant les pluies diluviennes de fin de saison. Une atmosphère d’électrons libre attendant la première détonation d’orage pour donner des frissons. Tous suspendus en regardant le ciel et la colère des cieux. Tous guettaient la foudre et le grondement des nuages noir.

Les fusibles de sécurité de mon cerveaux humain n’ont pas tarder pour fondre. La tension était trop forte. Je voulais rencontrer l’orage. La puissance électrique et divine des cieux agités. Je voulais rejoindre le ciel et narguer dieux en le provocant avec mon moteur. Je voulais titiller les molécules en supinations céleste et les faire descendre.

Enfourchant alors avec précipitation La Camarillo white, La bête blanche. Celle qui gronde !  La plus bestial, la plus grosse cylindrée du marché européen en matière d’enduro. LA 701.

Mode 2 pour la puissance, les yeux rivé vers le ciel, à la recherche de l’éclaire foudroyant. Direction le Coudon. Plus haute montagne près de Toulon, il y a la bas une route qui monte au ciel. Une route qui grimpe du niveau de la mer jusqu’au sommet culminant à 700 métres d’altitude. Souvent caresser par les nuage, ce mont aller sans doute être le plus haut théâtre d’activité météorologiques céleste de la région. Si le dieux de la foudre devait descendre se serais alors la bas. Pas de temps a perdre, Gaz en grand.

La roue avant de la Husq s’élève vivement du sol a chaque accélération trop franche, Elle est bestialement vivante et cabre intempestivement. Le ciel s’assombri depuis plusieurs minutes déjà et plus aucun vent ne viens alors souffler les arbre et les feuilles. Plus je monter au travers des lacets zigzagant de la route, plus le calme se faisait en silence. Seul le bruit rauque de l’échappement faisait trembler l’air. Les précipices de bords de routes me forcer a regarder le ciel. La route se perder dans l’horizon nuageux. Apres chaque virage apparaissait une montée et rien ne me faisait descendre. Arriver a la dernière épingle un panneau indiquer Defense d’entrée, Zone militaire. Au sommet du mont, sous les noirs et menaçants nuages se dresser une base militaire. De haute murailles et des antennes grimper au point culminant. Zeus était la ! C’est certain ! Franchir la barrière permet d’accéder au dernier mètres. Au sommet.

La haut, dans la plus terrible des attente insoutenable, celle du silence profond. Le premier grondement commenca a monter. Puissance et long. Mais encore lointain.

Et Soudain, Dans un éclaire foudroyant, le ciel éclatant de luminosité, déchira la pellicule que je tenter de prendre. Et dans dans l’obscurité lumineuse, mes yeux virent dans une vaporeuse image, Zeus. Le dieux de la foudre. Chevauchant une énorme 1200 GS, toute noir.

1 décembre 2020

OK d’accord tout le monde à le droit d’être amoureux de Ryan.

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The place beyond the pines.

29 novembre 2020

HAWAIIAN RIDER

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28 novembre 2020

Sécurité Globale

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Alors la manif c’est ouf, à paris c’etait TB, par contre pourquoi brûler des motos ? Moi je suis triste pour  elles … Moins pour les flics. ACAB

27 novembre 2020

LES FILLES DE LA ROUTE

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26 novembre 2020

here begin the race

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Quel oracle aurez cru à un pareil monde ? Ramener moi en Grèce antique !

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Les premiers contacts avec le monde extérieur sont dur, mes yeux ne connaissaient plus la lumière total et puissante de l’astre solaire. Je comprend mieux pourquoi les anciens hommes le vénérer. Une semaine dans la boite noir du travail général par télécommunication parait être un mois, ci ce n’est plus. L’impression de ne jamais faire assez. Etre sont propre maitre, bourreau et patron c’est dur. Un travail incessant. Du matin au soir. Périphérique audio vissé sur la tête, yeux éclater par la lumière bleu des écrans. Contactable à 100 pour cents tout le temps. Pas de 35 heures pour les auto-entrepreneurs automatisés. Pas de chômage non plus, le travail dans la chaumière c’est déjà du chomage. Tu veux de la  liberté ? Commande sur internet un trucs sympa genre de la bouffe livrer en moins de 15 minutes ou regarde du divertissement à 25 images secondes. Le monde des possible est ouvert à toi sur l’internet ! Tu as envie de sortir ? Autorise toi alors une sortie d’une heure (officiel) avec système de protection individuel sur le nez et la bouche. Ne t’approche pas des autres. Pas a plus d’un kilomètre de ton lieu de travail, euh de vie pardon. Ne t’inquiete pas on te protège du monde en te regardant passer derrière les écrans de contrôle municipaux. Si tu cherche à acheter de la nourriture en réel ? Tu n’a qu’a te rendre dans les points de ventes agrées, ou aussi appeler grandes surface. Pourquoi apprendre des connaissance maintenant tu dispose de tout en direct, tu est un humain assister par ordinateur. Attention, c’est pour ton bien tout ca. Tu voit il ne faut pas que tu te déconnecte du monde hein ? Tu comprend une fourmis sans colonie c’est une fourmis morte qui ne pourrais survivre. Si maintenant tu doute de tout ca, tu n’a qu’a sortir et voir le monde. Tu vois il est vide. Rien. Personne. Alors ? Ca te plais pas ta prison dorée ? Tu sais que tu as les clefs hein ?  De toute façon n’oublie pas que le travail dois être un plaisir, alors fait le avec le sourire au moins. Et tu regardera pendant ta minable sortie du jour le ciel en te disant que de toute façons à part devenir un oiseaux tu ne pourra pas te soustraire au lois terrestre.

Allez tous bien vous faire foutre ce qui pense que la vie c’est ca hein. Ce qui crois à l’idéologie de l’auto patron automate. En survie perpétuel dans un monde globaliser. Ca fait longtemps que les esclaves travailleur n’on plus de maitre. Bah oui un maitre on peut se rebeller contre. Quand c’est toi c’est plus dur. Ce qui pense qu’en tapotant dans le vide interstellaire d’internet fait de toi un bon vivant. Ce qui on pris l’électronique comme divin. Illusion, vous vous êtes choisi un bourreau.

Rien de mieux que de bon vieux outils analogique. Ce qui augmente l’homme, pas ce qui le domine. Depuis que l’homme n’a plus maitriser la machine, qu’il a pu être remplacé par elle, alors là a commencer le changement. <<Ce qui pense que connaissance est égal à savoir chercher se mentent à eux même. C’est un aveu de faiblesse de croire en l’intelligence collective. D’oublier sa propre volonté de croissance. De pouvoir personnel.

Et enfin j’emmerde bien sur la putain de démocratie représentative, qui je trouve devrais pour le cout être remplacer par une IA, on comprendrais mieux ses raisonnements inhumains.

25 novembre 2020

Gay dick in a box doing some manspreading

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