Errances

22 mars 2021

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Les ruines de jade ont le parfum de la nuit,
celui du jasmin, mêlé à celle, fade et douce du fleuve.
Le fleuve se fond à leur milles et un reflets opalescent,
 la douceur de l’eau n’a d’égal que celle des ruines,
dans lesquelles ont erre et on se perds,
les songes apaisés.

Envie d’errer

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Version numérique on teste

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21 mars 2021

Brouillon II

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Durant ce temps, je me demandais si la chaleur du Soleil m’entourerait tel un satellite ou si j’allais fondre au premier contact.
Dès notre première rencontre, le Soleil m’accueillit chaleureusement malgré l’étranger et le familier de nos cœurs.
Son cœur renfermait des touches de couleurs, du bleu, du vert, du blanc et bien d’autres qui se déplaçaient en symbiose.

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Del Amor y otros demonios

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« En voyant l’immense forêt d’Uraba depuis l’embarcation qui les emportaient vers leur nouveau destin, Delaura reconnut les nostalgies qui tourmentaient sa mère durant les hivers lugubres de Tolède.
Les crépuscules hallucinants, les oiseaux de cauchemar et les pourritures exquises des mangroves évoquaient en lui des souvenances bien-aimées d’un passé qu’il n’avait pas vécu. »

– Gabriel Garcia Marquez

20 mars 2021

Le monde à l’envers

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apis

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19 mars 2021

à travers la nuit

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Les lumières jaunes des lampadaires glissaient sur nos visages à intervalles réguliers pendant qu’on traversait la nuit bleue.
Je percevais à peine le murmure des filles depuis l’avant du Traffic, où la musique de l’autoradio masquait leurs voix, les rendant indistinctes malgré mes efforts pour comprendre leurs paroles.
A côté de moi, le chauffeur demeurait silencieux, l’air entièrement absorbé par la conduite.
A quoi pensait-il ?
Silencieuse également, je profitais du confort apporté par la quiétude de l’habitacle, appréciant passivement la présence des autres, la sensation de la route sous les pneus, les lumières de la nuit qui m’avaient tellement manqué.

18 mars 2021

Christophe est fatigué

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le bon goût

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arrogant.e

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BlueDate

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SOUS LES SUNLIGHT DES TROPIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIQUES

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17 mars 2021

Capharnaüm

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des traces

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16 mars 2021

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Première page (brouillon)

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Des milliers de lunes sont passés depuis ma rencontre avec le Soleil.
Moi, planète infime, descendant.e de noyaux solaires, dont l’appréhension de la première rencontre touchait mon cœur.
Un néant parsemé d’étoiles me séparait du Soleil, le voyage fut long.

15 mars 2021

What do I look like through your eyes ?

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AGAÏRA

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Y’a t’il un on plus pur que celui qui agite les bras dans la piscine du vivant ?

Il y a dans ce compost duquel le tous né, des privilégiés. La naissance en « on », celle qui rend le debarassage du lave-vaisselle plus facile.

On est nées avec le nous. Le compost nous l’a offert pour que nous ne manquions jamais de « on ». C’est une autre forme de vie que de voir le jour à deux.

La première est sortit du compost comme pour préparer le terrain pour l’autre, vérifier que l’air est à respirer, et que maman est confortable à grimper. Si Terra nous veut.

La deuxième décampe du compost, alerté par la première.

-Ça craint R ici, il fait juste un peu froid comparer à l’en dedans. Après, je pense pas que tu ai vraiment le choix, il va falloir te montrer. 

On est nées, et comme tout le monde on aime pas des masses. Ça braille, le compost nous manque. La bas « on » était « nous », barbotant au milieu des cellules, caressées par ce que promet le dehors du chaud.  Le dehors c’est froid, et la première bouffée d’air de Terra  marque le début de ce que fait la culture des hommes à ceux qui osent naitre en « on ». 

Le compost nous échappe, son souvenir s’est fait balayer par l’air que le monde des hommes nous a soufflé dessus. On se regarde, sachant se connaitre plus que tout sans savoir ou l’on s’est rencontrées. 

Instinctivement on se reconnait, on se confond, on ne comprend pas forcement l’utilité de se nommer différemment, on sait que l’on ne doit pas être même ici alors inconsciemment l’on fait naitre Agaïra. Une forme de culture et de geste commun qui fait de nous des êtres nées avec un « on ».

Iel est notre dernière entité commune. Agaïra se souvient  du compost qui nous a offert le « on ». Iel est une forme de mémoire unanime construite sur une culture holobiomique. Iel est synthèse, et la seule véritable forme de « on » à laquelle l’on peut prétendre. Iel est ce qui fait de nous des être connectées par le même compost. 

Ratpi world

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Brad, égal à lui même

Filed under: musardises — Étiquettes : — errant @ 20:04

L’expérience Tympœur

Filed under: musardises — Étiquettes : — errant @ 17:05

L’expérience Tympœur voit le jour grâce à l’errance. Tympœur correspond aux battements du cœur qui font résonner le tympan, comme un appel du corps à l’esprit. Le son qui nous rappel au réel si notre esprit divague de trop ou si notre mémoire est pleine. Errer permet d’imaginer mais aussi chaque jour de s’alléger l’esprit en vidant nos espaces mentales. En se libérant de nos idées préservés dans nos espaces mentales on s’affranchit de la pression mémoriel. Nous n’avons plus à nous inquiétez de ce que nous pouvons oublier quand cela est extrait de notre mémoire. Nous accumulons les idées mais notre esprit n’en n’est plus le seul gardien.

L’expérience Tympœur consiste à remplir notre mémoire puis de la vider et ainsi de suite. Si la mémoire est pleine, si l’esprit s’évade trop notre tympan nous en fera payer le prix.

L’errance est sans surprise thérapeutique. Cela ne se résume pas à vider son esprit bien au contraire. Le but est bien de le remplir en laissant son esprit se perdre et en le laissant explorer des dimensions que nous n’aurions même pas pu approcher en étant conscient. On peut trouver le sens et la cohérence parmi toutes ces idées afin d’avoir le contrôle, d’y mettre de l’importance et d’aller au delà des frontières du réel.

C’est assez !

Filed under: musardises — Étiquettes : — Zel @ 10:50

14 mars 2021

dans les roseaux

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Nous sommes les enfants des sorcières que vous n’avez pas pu brûler

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