23 novembre 2010
stroking monet
l’oeuvre de Tom Deininger qui fait avec différents objets.
« The paintings below are made from a wide variety of sources. They are executed From random internet searches, found photos, film stills, media shots, and even other paintings sometimes they are just out my head or actual still life set ups. They are usually produced in one sitting but are sometimes modified or painted over several times. I am interested in how the images relate to one another and how they appear in various groupings. It is a way to digest much of what I see and think about and how images conjure up various associations. I am also interested in what memory and time does to an image and what details can be modified to change it’s context. Ultimately the project is about observing the word around us and painting it. The exercise helps me see the world very democratically. Instead of writing this could be considered a visual blog. More of my work is posted on my website. »
22 novembre 2010
Très chair
Trés chère,
N’oubliez pas d’arroser les fleurs du balcon, car elles fanent extrêmement vite en cette saison. Ne cueillez pas les brins morts, ils tomberont d’eux même. Veillez juste à ce que les brins trop lourds ne viennent pas assommer quelques passants imprudents.
Amicalement
Grand-mère
« La grand-mère est cet être légèrement préhistorique, familier et étrange, qui inspire le récit. Jusqu’à celui de sa mort. Fin de la vie d’une grand-mère. Première étape de notre propre disparition. Premier coup de dents du néant »
Véronique Cohen, Grands-mères, un amour tendre et féroce
21 novembre 2010
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Elle passait toutes ses journées,
dans le silence menaçant de la plaine sans soucis,
sans pensées, poursuivant des rêveries vagues,
indéfinissables, intraduisibles en aucune langue humaine.
Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902
20 novembre 2010
19 novembre 2010
Tes mains
Mes mains, dessinent dans le soir, la forme d’un espoir, qui ressemble à ton corps
Tes mains,quand elles tremblent de fièvre, c’est de nos amours brèves qu’elles se souviennent encore.
Mes mains, caressent dans leurs doigts, des riens venant de toi cherchant un peu de joie.
Mes mains, se pendent en prière, vers ton ombre légère, disparue dans la nuit…
Mes mains, de Gilbert Bécaud, interprété par Raymond Leclercq 867 fois depuis 1960.