Errances

28 décembre 2015

Bilan

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2 virements de cap

0 départ pour le canada

1 déménagement vers l’ouest tout de même

5 mois d’errances

O

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DORS CERVEAU, DORS…

26 décembre 2015

Wind Glitch

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Fufuckin landart

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25 décembre 2015

Oui oui

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BOUFFER DE LA LOUTRE

Fuckin landart

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Fuckin landscapes

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24 décembre 2015

Dans un soucis de réalisme

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L’ARBRE DE NOËL VERSION RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE

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Quand tu penses que tu peux aller te coucher mais enfaite non… Il faut poster un truc sur errances

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même si c’est nul, même si tu y passes trois secondes, comme ça ça contraste avec les fois où tu as pris le temps de scanner un truc, de corriger des fautes do’rthographe

cochon caillou chou poil plafon araignée chose bete truc cirque acrobatier corps muscle rouge chiffon fouille merde brouhahahaha pouet camembert.

Demain : journée internationale de la photo instagram qui fait croire que tu vas passer un réveillon de noël fantastique alors qu’enfaite tu vas juste bouffer de la bûche.

22 décembre 2015

Matrix

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21 décembre 2015

Money Money Money

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ma_30

20 décembre 2015

J’ai rangé et j’ai pas tout jeté

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ma_29

Plein de meufs bad ass dans tout ça

19 décembre 2015

Plus de pression dans mon appartement

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Pirate la rate. En essuyant bien m’allant un soupçon de ses conjurations. Je pète un plomb. Je déteste le shopping. Ruée d’achat. J’aime. J’aime. Je suis passionnée. Attirée. Envoutée. Je veux me battre pour ce que j’aime. Je veux me battre sans imposer. Imposer, prêcher. Je n’aime entendre quelqu’un prêcher pour ce que j’aime. Si j’aime cela ne regarde que moi. J’aime. Je aime. Je. Aime. Je aime. J’aime.

18 décembre 2015

Non mais oh

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Peut être que ce monde n’existe pas, peut être qu’il est utopique mais moi j’y crois. J’y crois parce que si on arrête de résister et qu’on se laisse aller, ce sera peut être plus facile mais on aura perdu.

Vu sur le rapport de jury de l’ENS (l’année où je l’ai passé)

« Rappelons donc aux candidats que l’épreuve de philosophie est avant tout une épreuve de la pensée, de la capacité à comprendre, à interpréter, à saisir un problème, à s’y engager, à le contester rigoureusement, à le renverser, etc. et qu’elle n’est pas une épreuve de singes savants susceptibles de citer des auteurs mal compris, et surtout mal suivis. Nietzsche ne nous invite pas à l’imiter, pas plus que Kant à le parodier. Ils nous invitent à articuler un propos, même simple, comme on peut le faire en projet, comme on peut le faire en recherche, comme on peut le faire en citoyen. »

 

12 décembre 2015

Home

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J’ai un carnet rose fluo.

Mes carnets sont comme des doudous, en moins permanents. Je les démarre toujours dans un moment particulier; pendant un changement de rythme, de manière de penser. Je les fini rarement, il reste toujours quelques pages qui attendent d’être remplies. Remplites.

Aujourd’hui j’en ai acheté un à Sophie l’Écuyer en couverture il y a des jeunes filles imberbes qui câlinent, dressent, dansent avec des ours. Il est très étrange, je le dédirais à un moment très étrange.

Un week end ésotérique? Les dessins d’une promenade de nuit à la campagne? Des textes sous acide?

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11 décembre 2015

COUCOU JE SUIS LE TITRE DE L’ARTICLE ET TU NE SAIS JAMAIS QUOI METTRE DANS CETTE PARTIE LÀ.

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J’ai loupé un rendez vous fixé pour fin décembre.

Je suis en retard en avance.

J’ai peur de ta tête.

J’ai peur de moi.

10 décembre 2015

Pouet

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Déclic déclic déclic ça brille ça chante ça transpire le jaune ça coule du rouge.

Le froid le froid c’est mon ennemi je le combat avec ma doudoune. C’est ma combinaison spatiale. Mon enveloppe hermétique. Je ne suis plus rien qu’un habit. Je vois mon champ de vision rétrécie par la moumoute. Moumoute. Moumoute, je me couvre. Je suis dans le brouillard et je m’embrouille le plus. Je suis dans une couette. J’habite une couette. Je roule dans ma couette. Je m’emmitoufle. Je résiste à l’extérieur. Je suis une grosse particule informe sur la route. Je suis une moumoute doudoune rose dans le brouillard. Je suis bien, je suis en sécurité, je suis protégée. Mieux que la pub Nivéa.

9 décembre 2015

A noter pour plus tard

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J’ai lu un livre d’un paléoanthropologue à la mode qui s’appelle Pascal Picq (La marche, sauver le nomade qui est en nous). Dans son livre il explique que si nous sommes humains c’est avant tout parce que nous sommes bipèdes et que nous marchons. ( il explique aussi que le monde moderne et les transhumanistes vont détruire l’humanité parce qu’on ne marche plus assez (j’exagère un peu…mais bon…)).

En tout cas la pensée s’écrit en marchant (coucou poto Nietzsche). Mais j’ai quand même l’impression que je pense autant quand j’effectue des chemins à pieds ou en vélo. Ou du moins de la même façon, je pense à des choses vagues qui s’emmêlent un peu puis se dénouent…

Est ce qu’on ne pourrait pas rabibocher Pascal Picq avec le monde moderne en lui proposant de se mettre au vélo ?

En tout cas c’est vraiment différent d’écrire tout ce qui vient de se passer dans ma tête en marchant que d’essayer d’écrire assise quelque part. La position assise, confortable, au chaud, chez soi, m’est plus compliquée. Je pense avoir besoin de marcher, de me déplacer, d’être au dehors pour voir au dedans. Je me demande si il y a beaucoup d’écrivains qui écrivent assis à un bureau … ( à la vue de ma proto-expérience d’écriture )

Finalement c’est comme pour un projet en design, dès que tu sors tu trouves plein de trucs pour ton projet alors que des fois en restant à ton bureau à bosser rien ne vient. Même avec des bouquins, avec internet, c’est comme si des choses restaient bloquées et qu’il fallait sortir au hasard pour trouver ce qu’on ne savait pas chercher.

La procuration de vote ça se mérite

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– Dépêche toi, la secrétaire du commissariat est aimable comme une porte de prison, si tu arrives après 17h elle va paniquer.

Je fais mon sac rose bonbon je mets mon gros manteau gris et mes gants moches, j’enfourche mon vélo et je file. C’est très bien deux roues, je suis beaucoup plus fine que n’importe quel engin sur ce boulevard, je vire, je tourne, je prend le mauvais côté de la route, je slalome entre les voitures, je loupe la piste cyclable. J’avale une mouche, d’un air coupable je me demande si je viens de pécher pour un végan, je souris toute seule.

 – Tu vois le boulevard, c’est tout droit. Tu vois le feu au loin, tu le passes, il y en aura un deuxième. Un peu plus loin il y a une église bizarre, ne vas pas jusque là, le commissariat est à ta gauche. Oui ta gauche, côté cœur, là.

Je roule. Tout droit. C’est un putain de faux plat. Je trouve le commissariat, c’est un gros cube en béton. Dans la nuit tombante c’est un gros cube en béton très glauque. Je pense que c’est fermé, deux personnes arrivent en même temps que moi, c’est ouvert.

La secrétaire est déprimée de voir autant de monde arriver en même temps. Elle écrase la cigarette qu’elle vient d’allumer avec la pulpe de ses doigts. Aie.

Je peine à accrocher mon vélo à un arbre, personne ne doit venir en vélo jusqu’ici. Il y a apparemment une incohérence dans ma demande. On tartine un peu de blanc.

– Au revoir, bonne soirée.

Je reprends ma route, me perd un peu, prend un boulevard en pente montante, merde. J’accélère, ça ne fait pas de mal un peu de sport. De toute façon il fait froid. L’air est glacé. Ça sent le froid. Enfaite c’est peut être l’odeur des vaisseaux de mon nez qui se glacent. Ou l’odeur de ma morve qui se glace ? J’en ai marre du boulevard, je prends la première à gauche. Je suis dans une rue très calme, personne, seulement des immenses demeurent. Elles s’éclairent de l’intérieur et les vitraux font danser une lumière très douce. Très douce. Sacré temps, 1900. Je roule au milieu de la route. J’espère qu’il n’y a pas une voiture électrique. J’arrive sur un nouveau boulevard. Embouteillage de fin de journée. Je suis la reine du pétrole, je vais plus vite que tout le monde. Si ça bloque sur la route, je prends le trottoir. Je passe le long des chantiers. J’aime bien quand rien n’est fini, c’est comme une anti-dissection. J’arrive chez moi, il fait chaud. La lumière est douce. Douce. Douce. Je vais profiter des quelques minutes que j’ai pour écrire, avant que la vie de famille ne reprenne.

8 décembre 2015

Ego

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C’était plus fun en 1979 quand je me faisais chasser chassais des aliens dans l’espace.

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7 décembre 2015

Florilège facebook

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6 décembre 2015

Elections

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Je viens d’une région de cons.

Ce soir, allume arte

 

Spoiler

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Enfaite, si t’as pas vu Mad Max je ne te conseille pas de lire ça. Tu peux toujours regarder les images. Ou vraiment, si tu veux lire ça, regarde au moins le dernier Mad Max, sinon, c’est dommage, je spoil tout…

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En ce moment je regarde Mad Max, quatre films en une semaine. Films sans trop de dialogues mais avec des actions, c’est plutôt approprié. Avec des scènes terribles et des voitures qui font plein de bruit, qui vont très vites sur des routes très longues, qu’on ne voit pas ici. Des routes sans personne qui se retrouvent habitées par des machines. Des films où les méchants sont gayfriendly et où le héro n’en est pas vraiment un.
Max c’est un type qui a perdu son seul amour, depuis, il erre sur ces routes sans fin dans un monde qui a perdu l’humanité. On ne sait pas trop ce qu’il cherche, certainement rien, à part de la« gazoline » pour continuer à errer. Il finit toujours dans une sale situation, tu ne sais pas trop ce qu’il fait là, lui non plus. Max arrive, comme un sauveur, un soignant, il aide tout le monde et repart se noyer dans la foule quand tout vas mieux. « where are you Max ? » répète une voix tout le long du quatrième film.

J’aimerais voir Max comme un prétexte pour rencontrer d’autres personnages, des filles badass qui se battent, qui fuient des codes, des situations. Des grand-mères qui font peur aux méchants. Des femmes qui sauvent des graines et qui coupent des ceintures de chasteté. Qui prennent le pouvoir dans le quatrième film et la place d’un héros qui dans les années 80 venait à bout des gangs de méchants motards.

Dans le dernier Mad max il n’y a plus qu’une route, à peine tracée et des volants. Des volants en piles, des volants qui deviennent logo d’une cité. Des volants dont il faut se saisir pour démarrer les engins. Des volants en série pour l’armée des mi vivants, des volants qu’on s’approprie quand on est chef de guerre ou Furiosa. Ce volant, d’un coup sur le coté devient élément déclencheur. Il suffit de le tourner plutot que de suivre la route pour prendre sa vie en main. L’objet, d’un simple geste, déclenche cataclysmes et tornades. Si il n’est plus là on bricole, on répare et on en trouvera un autre plus tard. Le volant c’est un peu la pièce ultime de personnalisation, d’appropriation des engins. Ceux ci se libèrent de la fabrication en série que nous connaissons. Dans le film, ce sont des objets transfigurés. On en connaît la forme, la fonction mais leur pouvoir nous est inconnu. Dans un environnement différent, sans chemins, sans lieux, l’objet banal peut devenir autre. Ils sont ici supports de personnalités, ils deviennent personnes et habitants de la route, objets de pouvoir. Des volants tête de morts dans la plupart du temps. Tu vois la tête de mort, un symbole dénudé. Est ce que tu crois que ça évoque encore une vanité ? On est dans un monde où tout est à moitié mort, les enfants naissent non viables et grandissent avec des prothèses et des difformités, des cancers un monde ou le seul espoir est d’aller dans un paradis chromé.

Mad max se joue sur la non route. Dans le Wasteland, le terrain vague, le non lieu. Le désert, endroit d’errance, de perdition. Dans le film, endroit d’espoir d’une vie qui peut changer. Le seul repère géographique est la cité totalitaire d’où Furiosa s’échappe, autour il n’y a que désert ou villes-fonction (Gasland, Bulletland). C’est le centre de gravité de l’histoire, le point d’où on part, le point qu’on fuit, le point de retour. L’objectif à quitter qui devient terre promise. Le lieu unique, autour il n’y a qu’espoirs vains. Alors « where are you max » ? Pourquoi fuit-il encore si il n’y a rien, si il ne peut trouver en dehors de la cité que des non lieux où rien ne vit? Il y a il un but à errer ? Errer pour errer ? Peut être fuir pour fuir ? Ne pas vouloir construire ? Ne pas se poser, ne pas rester, partir nulle part.

4 décembre 2015

bzzzziouit

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J’ai entendu du coin de l’oreille une voiture électrique démarrer. Film de science fiction en direct au bout de ma rue.

 

 

 

Au passage :

« Nous ne sommes pas de ceux qui ne pensent qu’au milieu des livres et dont l’idée attend pour naître les stimuli des pages; notre ethos est de penser à l’air libre, marchant, sautant, montant, dansant, de préférence sur les montagnes solitaires ou sur les bords de mer, là où même les chemins se font méditatifs »

Nietzsche (bac +3 en orthographe de noms allemands), Le gai savoir.

Encore une raison pour aller marcher.

3 décembre 2015

Mad max 2

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2 décembre 2015

Mad max

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1 décembre 2015

STOP

Filed under: corridors — Étiquettes : , — errant @ 18:45

Angoissée. Angoissés. Il parait qu’on est tous angoissés.
Penser, pensées, penser. Je pense trop, je pense trop je pense trop. Je veux me débarrasser. Je ne veux plus me concentrer. J’ai besoin de vecteurs de déconcentration. Besoin de séries, de films, de livres. Besoin d’histoires qui ne sont pas les miennes. Besoin d’histoires à travers lesquelles je me lis. Je ne veux plus me lire, je veux sentir, ressentir, expérimenter. Avoir les mains qui brûlent, qui piques, qui chauffent. Avoir des fourmis dans les pieds, ne plus sentir mes orteils parce qu’ils sont glacés. Je veux être éblouie par des UV et pas par des néons qui bourdonnent. Je veux faire une pause arrêter. Tout stopper pour un temps donné, si court soit il. Je ne veux pas angoisser. Je veux calmer mes doigts qui tapent trop vite sur le clavier. J’essaye de capter ce qui se joue dans ma tête, c’est compliqué. Je suis fatiguée, fatiguée, fatiguée. Je dois desintellectualiser. Je dois arrêter de comprendre. Arrêter de vouloir comprendre. Je dois saisir, saisir, saisir. Vivre, sentir, esthétiser. Sensibiliser. Me voir dans le monde et ne plus voir simplement le monde. Je ne veux pas penser à la phénoménologie en pensant à ça. Je veux oublier un temps, oublier les bibliographies, les auteurs, les dates (ah non ça je ne les ai jamais su). Je veux arrêter de lire les génériques de films pour voir si j’y reconnais des noms. Je dois arrêter de taper ces noms sur wikipédia pour voir ce qu’ils ont fait avant. Je dois arrêter de lire et de noter, de retenir.
Pour l’instant.
On y reviendra plus tard. Mais je veux revenir en arrière, me laisser errer sans réfléchir. Je suis trop de chemins, trop de routes tracées, trop de méthodes trop d’habitudes. Je ne veux plus voir des films en les politisant. Je ne veux pas juger des choses selon qu’elles correspondent ou non à mon point de vue.
Je ne veux pas m’exaspérer quand on pense que les mécanos sont pour les garçons. Je ne veux pas me demander si je dois trier le papier et les cartons.
Pour l’instant.
Je veux savoir faire tout cela. J’ai sauté les étapes, j’ai oublié d’apprendre à ne pas apprendre. J’ ai oublié de ne pas comprendre. Je veux voir un monde fait d’imaginaire, de sensations et d’incompréhension. J’aimerais un moment revoir des papillons comme cet été et ne plus les associer à Didi-Huberman. Je ne veux plus voir des lucioles comme des symboles révolutionnaires. Je veux seulement voir des lumières, sans me dire que c’est une parade nuptiale. Mais juste pour un instant, un temps. Revivre tout ça. J’ai peur d’avoir perdu une naïveté, je ne veux pas perdre la naïveté. Je veux rêver rêver rêver. Mais même dans mes rêves il se passe des choses concrètes, quand je me réveille je les analyse.
Aujourd’hui je dois développer un imaginaire pour un projet mais je suis bloquée. bloquée bloquée bloquée bloquée bloquée bloquée bloquée bloquée.

Voilà ça vas mieux , mais il serait temps de retourner errer en forêt.

Enfaite, faut trop que j’assume le rose

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30 novembre 2015

Ouais !

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29 novembre 2015

Blade Runner sur grand écran

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Blade Runner, c’est encore un film de science fiction avec un sale délire sur les yeux.

Quand je me dis ça, je me dis qu’il y a forcément quelqu’un qui dans son cursus universitaire à écrit un essai, un mémoire, une thèse sur les yeux dans les films de science fiction. Je trouve ça fascinant. D’un côté j’aimerais bien lire une étude sur le sale délire des yeux au cinéma, de l’autre je me demande toujours qui est cette personne qui a passé son temps, son énergie à faire ça.

 

 

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